mercredi 1 novembre 2017

Génocide au 120



 Lundi dernier.
Je me suis aperçue il y a deux jours qu’un gros nid de guêpes avait élu domicilie sur le plafond de la terrasse.
Des amis venus me voir hier me conseillent de faire appel aux pompiers pour me débarrasser de cette cohabitation plutôt piquante ! (Elles ont une appellation brésilienne mais je ne l’ai pas retenue !)
Ce matin, une autre amie téléphone aux Pompiers. Fin de non recevoir : ce n’est pas eux qui se dérangeront. Mais on lui indique gentiment les coordonnées d’un organisme spécialisé dans ce genre d’intervention. Là, ça devient vraiment cocasse : ils ne s’occupent que des nids d’abeille, à condition toutefois quelles soient brésiliennes ou africaines !  Comment font-ils dans ce cas : on leur demande leur passeport ???
Comprenant que j’ai  affaire à des migrantes sans papiers, j’ordonne, à contre-cœur quand même,  leur mise à mort par le jardinier à l’aide du produit  servant à lutter contre les moustiques (un dérivé de Monsanto, sans doute... ).
Voilà, mes locataires indésirables  et leur demeure ont disparu....

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