
Mais il nous facture le prix fort pour ce supplément de service : 35/36° tous ces derniers jours et encore 28° ce soir vers 22 heures.Charlie, quant à lui, profitait ce matin de la (relative) fraîcheur du jardin pour méditer...
Chroniques de la vie quotidienne à Goiânia (Centre du Brésil)par une Française.

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Au Brésil, à l’époque de l’esclavage (17 et 18ème siècle), les esclaves, la plupart d’origine africaine, qui parvenaient à s’échapper se réfugiaient au plus profond de la selve. Il se formait ainsi des communautés reconstituant les structures – beaucoup plus strictes et organisées qu’on veut bien nous le faire croire – des villages africains. Ces lieux furent appelés en portugais « quilombos », mot dont l’origine serait bantoue (abri).
Né vers 1655 à Palmares mais capturé très jeune par de soldats portugais, il échappe à l’exécution et est confié à un père catholique de Recife qui le baptisa Francisco. Un geste humanitaire qui coûta cher à l’armée portugaise !! Il apprend la langue, un peu de latin… et s’enfuit à 15 ans pour rejoindre Palmares. Grand guerrier, fin stratège, il dirigera durant plus de 20 ans la défense de Palmares, jusqu’à l’assaut final de l’artillerie coloniale en 1694. Contraint de s’échapper, il mourra au combat le 20 novembre 1695
Parmi les ouvrages, il y avait notamment celui-ci :



Photographie extrait du "Monde Diplomatique Brasil" (août 2008)
Portrait de Julio Cortazar par le peintre argentin Ricardo CARPANI