


Pour notre part, nous ne pouvons qu’être satisfaits : trois de ces peintres figurent dans notre collection
(1) "Les toiles de l’âme. Les pinceaux qui émeuvent Goiás "
(2) Une exception pour Confaloni, décédé depuis plusieurs années et c’est sa nièce italienne, Rosella, qui a été sur la sellette. Je peux d’ailleurs ajouter à son sujet qu’elle s’exprime parfaitement en français, car elle fut ma voisine de table, chez Fogaça, un soir de l’année dernière, lors de son passage à Goiânia !