Il a représenté ce qu’il appelle les « accidents mytho-poétiques du Cerrado », avec ses grottes, ses sentiers, ses ravins, ses collines, ses rochers aux formes bizarres, ses champs de pierre, ses champs de fleurs exubérantes, ses cours d’eau.
Couleurs violentes de commencement du monde… ou peut-être de fin d’un monde, le cerrado étant peu à peu avalé par l’urbanisation et les cultures intensives…

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