Hier, il avait réussi à s’échapper et semblait nous attendre sur le trottoir, devant son jardin. Il s’est laissé caresser avec beaucoup de satisfaction, et a grignoté avec délicatesse quelques petits morceaux d’un biscuit que j’avais apporté à son intention. Nous craignions un peu qu’il nous suive mais il a gambadé quelques pas avec nous et est parti folâtrer dans le petit parc de l’autre côté de la rue.« Les taureaux s’ennuient le dimanche » chantait Jacques Brel. Domingo aussi !!!
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