Contrairement à l’image qu’on se fait du colibri (330 sortes sont répertoriées), celui-ci n’arbore pas des couleurs vives mais un plumage d’un bleu très sombre. Les Brésiliens ont un joli mot pour appeler ce champion des battements d’ailes et du vol arrêté : beija-flor (de beijar, embrasser et de flor, fleur).

En voici un photographié à la frontière du Brésil et du Vénézuela et qui ressemble tout à fait à mon petit opportuniste !!
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