Maria Fumaça

"Maria Fumaça"

Tel est le nom de cette vénérable locomotive.

Elle ne crachera plus ses panaches de fumée en arrivant en gare de Goiânia. Cela paraît rendre nostalgiques mes amies Céline et Dinah....
 
Construite à la fin de la décade 1940, la gare, de style pur art déco, fut inaugurée en 1952 et le trafic ferroviaire fut arrêté dans les années 80.
Maria Fumaça, locomotive N0 11, est donc à la retraite qu'elle passe devant sa gare.

Aucun voyageur ne franchira  plus la grille donnant accès au quai après avoir acheté son billet aux beaux guichets...

L'appel des hauteurs !

Quand Maya s'ennuie, elle part à l'assaut de la bibliothèque du salon...

Elle semble d'ailleurs très décue de ne pouvoir aller plus haut !

Œus pochés en gelée.

 Voilà une entrée dont je régalais jadis mes invités avant de quitter la France, c'est-à-dire... en 1966 !

J'avais perdu un peu la main et c'était un peu raté la semaine dernière.

Le deuxième essai est plus réussi !

RECYCLAGE

Réchauffement climatique,  commerce équitable, économie d’énergie, développement durable, gaz à effet de serre, recyclage, réduction des émissions de CO2 sont quelques uns des mots-clés de nos informations quotidiennes.

Pour ma part, je me suis livrée au recyclage des morceaux de savon de la maison. N’ayant pas de moules, j’en ai été réduite à confectionner des boules (plus ou moins réussies !). Miais, bon, je ferai mieux la prochaine fois !

SETE-COPAS

A une centaine de mètres de la maison, ce grand arbre perd actuellement son feuillage rouge et jaune.

Originaire de la Nouvelle Guinée, il a sans doute été importé au Brésil par des marins portugais.

Mais il a deux défauts impardonnables : comme tout arbre tropical, ses puissantes racines endommagent trottoirs et chaussées, et plus grave, ses feuilles tombent sur les précieuses bagnoles garées sous son ombre ! Deux raisons qui me font craindre pour sa survie dans ma rue....

Au Brésil, il a différents noms mais le plus usité est sete-copas. En français nous l’appelons badamier.

Ce matin...

Ce sont souvent les petits gestes et les modestes présents qui embellissent la journée.

Ainsi, Celia, mon aide ménagère, arrive parfois le matin  avec quelques fleurs qu’elle a glanées sur son chemin.

Comme celles de ce matin...

(fleurs de quaresmera.  Le petit pichet est en faïence de Quimper, hérité d'une grand mère, à côté de Luzinho, mon chat en cristal vert malachite.  Sculpture de Guinée-Bissau)