vendredi 27 juillet 2018

Ce matin, à 10 heures

Petit tour :

- dans le salon. Maya, la coquine, était en embuscade derrière le canapé. Mais la paparazza (1) de "Goiânia-Match" (2) avait son appareil photo !



- dans le patio. Mon petit iris avait "fait triplette" ! 


(1) des paparazzi. Un paparazzo. Une paparazza (C.Q.F.D.)

(2) concurrent direct de "Paris-Match" !!

mardi 24 juillet 2018

SABIR TELEVISUEL


 Les présentatrices et présentateurs de nos journaux télévisés français sont en général du style bon-chic-bon-genre, mais les nouvelles qu’ils distillent derrière leurs dents éclatantes style clavier de piano, sont émaillées d’expressions  qui méritent qu’on s’y arrête. En voici quelques unes relevées au cours des jours :
Recréer le lien social
 Emplois francs (par rapport à quels emplois ?)
 Economie co-responsable
 Réalité virtuelle ( ?)
 Budget post-brexit (pour nos amis anglais, sans doute !)
 Anticiper en amont ( ?)
 Cinéma positif (Cannes, 2018)
Personnes issues de la diversité
 Rester dans le tissus social (Informations suisses – en résulmé, ne pas mettre les vieux en maisons de retraite...)
 Crypto-anarchistes ( ?)
 Précarité indéfinie ( ! )
 Régiment numérique (Défilé du 14 juillet)
 Ascenseur social
 Escalier social (nettement plus sportif que le précédent ! )
 Cougar (machisme pas mort ! )
 Primo-accédant
Dopage technologique (tour de France)
Objectivisation (j’objectivise, tu objectivises, etc.. ! )

J’ai également à leur intention quelques épithètes et verbes  qui peuvent qualifier cette bouillie verbale :

Charabia – jargon – galimatias – billevesées – balivernes – sornettes – calembredaines – fariboles – baratin – bobard – boniment – galéjade - carabistouille
Sans oublier le bon vieil argot parisien :
Charres – giries – bourrer le mou – chambrer.


mercredi 18 juillet 2018

LES CHUTES

Un couple de mes amis de Goiânia est actuellement  à Iguaçu. 
Bien que je sois allée trois fois voir les fameuses chutes, je les envie !

1er séjour (1985) avec Daniel le fils d'Yvan (le photographe!)


2ème séjour  (2005) avec Jean-Luc et Elena, habitant au Guatemala.
3ème séjour (2012) avec  Christine et Didier (Yvan,  qui avait visité les lieux dans les années 50 alors qu'il habitait à Buenos Aires, était resté à Goiânia).


Entretemps, s'était créé à la sortie de la ville de Foz de Iguaçu le parc des oiseaux. Rencontre avec Monsieur Toucan !


samedi 14 juillet 2018

Cinéma français


Du 7 au 20 juin, 21 films français ont été présentés dans l’une des salles de cinéma du shopping Bougainville de Goiânia, sous les auspices de l'Alliance Française.
Après un cocktail de bienvenue, le festival a été inauguré avec le film « Au revoir là-haut » de Albert Dupontel, l’adaptation du roman éponyme de Pierre Lemaître, Prix Goncourt 2013.

Le film a  eu sept nominations aux César  2018 et en reçu cinq. Il a obtenu également un prix au  Festival de San Sebastian.

Et, franchement, c’est bien mérité. J’avais beaucoup aimé le livre et le film de m’a pas décue.

mardi 10 juillet 2018

Mes trois Grâces du jour...

Mais je dois les abandonner ce soir : je vais au Musée d'Art de Goiânia à un vernissage...
 .... mais je les retrouverai demain matin : elles subsistent deux jours.

samedi 7 juillet 2018

Bois du Lion

Photographié dans le lieu  dit  "Bois du Lion" (Bosque do Leâo) à une  encablure (1) de chez moi.
J'ignore le nom de cet arbuste donnant de si jolies fleurs écarlates


(1) Pour information : ancienne mesure de marine (180 à 200 m) !

mercredi 4 juillet 2018

Marcia Marina, Maristella et Vivaldi


Je reviens sur mon blog du 6 mai, évoquant le concert Vivaldi organisé dans la demeure de Marina Marcia.
Arrivée avant tous les invités (c’est-à-dire à l’heure prévue !) J’ai pu ainsi choisir ma place, au premier rang.
Ce concert fut un régal. Maristella (1)  la violoniste se trouvait à deux mètres de mon siège. Belle jeune femme aux longs cheveux blonds non seulement elle  maniait son archet avec virtuosité mais aussi avec une telle fougue qu’elle paraissait danser  ! De plus, elle présentait  avec enthousiasme chaque mouvement du concerto en italien avec des textes, lesquels, semble-t-il (mais je n’en ai pas eu la confirmation) sont de Vivaldi lui-même.
Bref, un spectacle réjouissant pour les yeux et les oreilles...
Il y a des personnes qui sont bénies par les Dieux. Tel est le cas de Maristella  ;  belle, talentueuse et, de plus très sympathique car j’ai eu l’occasion d’échanger quelques mots avec elle après le concert. (2)

1)   Maristella PATUZZI, née à Lugano en 1987. Elle joue souvent avec son père, Mario PATUZZI, pianiste renommé.
2)   Avant le concert, j’avais lu qu’elle jouait parfois avec un Stradivarius prêté par un collectionneur. Elle m’a précisé que le précieux instrument  ne  l’avait pas accompagné  à Goiânia...