mardi 31 mars 2020

31 MARS


Ce dernier jour de  mars fut un jour faste
  
- pour la musique puisque naquirent  Jean-Sébastien BACH (1685/1750) et Joseph HAYDN (1732/1809),
 
- pour la physique, les mathématiques et la philosophie, avec René DESCARTES (1596/1650).
 
Par contre, ce dernier fut mal inspiré de répondre à l’invitation de la Christine de Suède, puisqu’il mourut une  journée de février, non pas de froid comme on l’a longtemps pensé mais vraisemblablement empoisonné.

jeudi 26 mars 2020

CONFINEMENT + 9

Menu du jour, prêt pour le grill électrique.

Mes derniers légumes frais.

Après, on passera au surgelé.

Ensuite, on verra : je m'efforce de tenir un blog de chroniques,  pas  d'anticipation !

vendredi 20 mars 2020

MACHADO


A l’occasion du 80 ème anniversaire du décès de Antonio MACHADO (1875/1939), la Fondation qui porte son nom à Collioure,  a édité ce très beau livre bilingue. L’un des plus grands poètes espagnols du 20ème siècle vint en effet mourir d’épuisement  dans cette ville  après long voyage (avec son frère et sa mère qui le suivit quelques jours après dans la tombe) pour échapper aux griffes du franquisme.


 
 
Hommages de Miro et Picasso à leur compatriote



Merci à mes amis Anne et Raymond (dit Imo!)








dimanche 15 mars 2020

CÉRÈS (2)




 vue d'ensemble d'une exposition organisée par Cérès (1964)

Au début des années 2000, j’appris, en lisant le journal un matin au bar du coin de notre rue à Lectoure, que Cérès Franco donnait une conférence le soir même à Auch. Et nous avons, enfin, fait la connaissance de notre amie épistolaire !! Nous sommes ensuite allés la voir à Paris et à Lagrasse, très beau village des Corbières dans l’Aude, où elle possède deux maisons qu’elle ouvrait en été aux visiteurs pour leur permettre de découvrir une partie de sa collection.

Après bien des difficultés et des déboires, Cérès a réussi à sauvegarder sa fabuleuse collection (à peu 1.700 oeuvres), qui est maintenant installée dans une coopérative-musée à Montolieu, dans l’Aude, et qui porte son nom.


mercredi 11 mars 2020

CÉRÈS




Une amie française m’a envoyé ce livre, reçu il y a quelques semaines.


Cérés, brésilienne, est  née Cérès Borba Farinha, à Bagé, dans l’Etat du Rio Grande do sul (1). Elle s’installe à Paris au début des années 50. Commissaire d’expositions – notamment entre le Brésil et la France – critique d’art, elle devient galeriste en ouvrant à Paris, en 1972, rue Quincampoix, une galerie restée fameuse, où elle exposa durant 25 ans des peintres marginaux,  des naïfs brésiliens et européens,  des peintres de l’art brut, autodidactes, singuliers ou encore des artistes historiques issus du mouvement CoBrA (2) ou de la Nouvelle figuration.

Lors d’un passage à Paris, dans les années 70, nous sommes allés rue Quincampoix. Elle n’était pas présente et nous avons laissé l’adresse de la galerie que nous avions à cette époque à Antibes. S’en est suivi pendant des années des échanges d’invitations et de courrier.

Et le temps passa....

 
(à suivre)

(1)L’Etat le plus méridional du Brésil aux frontières de l’Argentine et de l’Uruguay.

(2) CoBra : COpenhague, BRuxelles, Amsterdam.  Mouvement constitué le 8 novembre 1948 dans le café Notre-Dame à Paris, il réunit des peintres, des sculpteurs et des poètes représentant trois pays : les Pays-Bas, le Danemark et la Belgique