Mon voisin Conan
Je peux le considérer comme un ami : quand je vais rendre visite à ma voisine Gelma, il arrive en ondulant sa grosse carcasse fauve, m’apporte sa balle qu’il me fourre d’autorité sur les genoux en bavant généreusement !!! Jusqu’à un an, il dormait sur le lit de l’adolescente de la maison. Compte tenu de son poids (je pencherais vers les 35 kg !) sa couchette est désormais sur la terrasse. Paraît-il qu’il a gémi des nuits entières avant de se résoudre à son exil !!
Et pourtant, en France, il serait promis à l’euthanasie car Conan est pitt bull de son état…
Mais qu’on ne s’y trompe pas : Conan est aussi un chien de garde. Avant de faire sa connaissance officielle, il m’est arrivé plusieurs fois de longer les grilles de sa maison. Devant sa mine patibulaire, je préférais allonger le pas !!!
Chroniques de la vie quotidienne à Goiânia (Centre du Brésil)par une Française.
jeudi 26 juillet 2007
Sanctuaire Dom Bosco, Brasilia
Une visite éclair d’une journée à Brasilia (200 km) m’a permis, entre formalités administratives et visites amicales, de visiter l’Eglise Don Bosco que je ne connaissais pas.
De l’extérieur, ce bâtiment carré n’a vraiment rien d’inspirant mais quelle surprise quand vous franchissez une des portes en bronze.
L’édifice, d’une surface de 1.600 m2, repose sur 80 colonnes de 18 mètres de haut, entrecoupées de vitraux de 12 nuances de bleu, symbolisant ainsi un ciel étoilé. D’où l’impression de flotter dans cet atmosphère bleue…
Le lustre central, allumé seulement lors de grandes cérémonies religieuses, pèse 2.600 kg. Il est composé de 7.400 pièces de verre de Murano et de 180 ampoules.
D’aucuns ont voulu voir dans un des nombreux songes de Saint Jean Bosco (1815/1888), fondateur des Salésiens, la description de la ville de Brasilia. Voilà pourquoi ce sanctuaire lui est dédié..
Une visite éclair d’une journée à Brasilia (200 km) m’a permis, entre formalités administratives et visites amicales, de visiter l’Eglise Don Bosco que je ne connaissais pas.
De l’extérieur, ce bâtiment carré n’a vraiment rien d’inspirant mais quelle surprise quand vous franchissez une des portes en bronze.
L’édifice, d’une surface de 1.600 m2, repose sur 80 colonnes de 18 mètres de haut, entrecoupées de vitraux de 12 nuances de bleu, symbolisant ainsi un ciel étoilé. D’où l’impression de flotter dans cet atmosphère bleue…
Le lustre central, allumé seulement lors de grandes cérémonies religieuses, pèse 2.600 kg. Il est composé de 7.400 pièces de verre de Murano et de 180 ampoules.
D’aucuns ont voulu voir dans un des nombreux songes de Saint Jean Bosco (1815/1888), fondateur des Salésiens, la description de la ville de Brasilia. Voilà pourquoi ce sanctuaire lui est dédié..
mercredi 25 juillet 2007
mardi 24 juillet 2007
Des agaves, tous piquants pointés, croissent sur le trottoir le long des piquets de bois fermant notre jardin d’entrée. Une barrière dissuasive…
Subitement, le cœur de deux d’entre eux s’est ouvert et, en à peine trois semaines, deux totems se sont dressés vers le ciel. Des excroissances sortent le long des hampes, qui commencent à montrer des petites fleurs jaunes. Nos agaves fleurissent !
Renseignements pris, il faut attendre une dizaine d’années, parfois plus, pour que ce phénomène – unique, car après cette floraison la plante, épuisée, meure - se produise.
L’agave est originaire du Mexique et plusieurs centaines d’espèces ont été répertoriées. Les nôtres semblent de l’espèce agave americana, ou maguey. les Mexicains en tirent la tequila, le pulque ou le mezcal, et les peuples mayas travaillaient sa fibre pour tisser leurs vêtements. Certains villages du Guatemala continuent à utiliser le maguey pour confectionner leurs ceintures
Subitement, le cœur de deux d’entre eux s’est ouvert et, en à peine trois semaines, deux totems se sont dressés vers le ciel. Des excroissances sortent le long des hampes, qui commencent à montrer des petites fleurs jaunes. Nos agaves fleurissent !
Renseignements pris, il faut attendre une dizaine d’années, parfois plus, pour que ce phénomène – unique, car après cette floraison la plante, épuisée, meure - se produise.
L’agave est originaire du Mexique et plusieurs centaines d’espèces ont été répertoriées. Les nôtres semblent de l’espèce agave americana, ou maguey. les Mexicains en tirent la tequila, le pulque ou le mezcal, et les peuples mayas travaillaient sa fibre pour tisser leurs vêtements. Certains villages du Guatemala continuent à utiliser le maguey pour confectionner leurs ceintures
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