Jeudi dernier, vernissage à l’ancienne. C’est-à-dire
que, comme jadis, le peintre qui avait investit la galerie durant tout le mois de décembre en tant qu’atelier,
venait de terminer son œuvre et nous conviait, symboliquement, à son dernier coup de pinceau. On évoluait sur des
feuilles de papier journal éparpillées sur le sol, en contournant des petites
tables sur lesquelles des pinceaux trempaient
dans des bocaux, et en évitant les tubes de peinture vides ! En
fait, j’ai trouvé ce désordre très sympathique, qui contrastait avec la peinture minutieuse et romantique de TAI HSUAN-AN, né en Chine mais brésilien d'adoption.
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