Elisabeth Abreu Caldeira Brito dédicaçant son livre
Chroniques de la vie quotidienne à Goiânia (Centre du Brésil)par une Française.
lundi 30 mars 2015
Sublimes Linguagens (3)
Le lancement du livre eut lieu dans la salle de réception de l'Ordre des Avocats de Goiania
vendredi 27 mars 2015
Sieste
Quel plaisir de se vautrer sur la robe de chambre laissée là à mon intention par l'un de mes humains !
mercredi 25 mars 2015
Sublimes langages (2)
Elisabeth a eu l'idée, avec l'aide financière de la municipalité, de réunir ces publications de poèmes et de tableaux, en un livre.
Mon poète personnel est ravi : voici deux des six pages qui lui ont été consacrées
(à suivre)
Mon poète personnel est ravi : voici deux des six pages qui lui ont été consacrées
(à suivre)
lundi 23 mars 2015
Sublimes langages (1)
Elisabeth CALDEIRA BRITO, à part d’être une poète de talent,
occupe diverses fonctions culturelles
dans l’Etat de Goiás.
Chaque dimanche, (1), par exemple, elle fait paraître sur le « Diario
da Manha », l’un des deux grands quotidiens de la ville, une page de
poésie avec des illustrations d’artistes plastiques, comme par exemple celle-ci où figure l'époux :
(1) De quoi rendre envieux les poètes et les artistes plastiques français!! (à suivre)vendredi 20 mars 2015
1er jour de l'automne ici
Je vous avais déjà fait le coup du soleil couchant, vu de notre salon, sur fond de fils électriques...
Mais pas avec un arc-en-ciel !
Quelques minutes plus tard
mardi 17 mars 2015
comme au siècle passé !
Petite erreur dans mes dernières emplettes : je me retrouve avec deux paquets de café (brésilien, bien entendu!) en grains.
L'appareil électrique pour moudre le café ne fait plus partie de ma panoplie de ménagère.
Devant ma perplexité, l'époux me désigne un endroit derrière mon dos. Bien sûr, suis-je sotte et sans imagination : les vieux moulins à café (1) de sa grand-mère décorent une étagère du buffet de la cuisine!
Celui-ci a donc repris du service :
(1) Deux grands et deux petits. Ils ont beaucoup voyagé, eux aussi : du Gers (où habitait la grand-mère) ils sont partis à Buenos-Aires (lieu de résidence de la mère d'Yvan), pour revenir à Lectoure, dans le Gers, et repartir pour le continent latino-américain, à Goiânia....
samedi 14 mars 2015
Vernissage
Vernissage le mois
dernier à la Galerie POTRICH à l’occasion du retour au bercail des œuvres
des deux compères, PIRAGORAS LOPES et G. FOGACA
Cette exposition est d’abord partie à La Havane, puis à
Caracas et enfin à Madrid
Peu de visiteurs car nous étions en pleine période des congés du Carnaval.
Dommage....
mardi 10 mars 2015
In memoriam
Le 28 octobre 2011 mon blog était consacré à la navigatrice Florence Arthaud.
Florence est l’une des dix victimes de l’accident
d’hélicoptères survenu hier dans la
province de La Rioja, au nord-ouest de l’Argentine.
Ainsi la destinée de la « Petite fiancée de
l’Atlantique » n’était pas de périr dans les eaux qu’elle a bravées tant
de fois....dimanche 8 mars 2015
jeudi 5 mars 2015
Pour Anne, Chantal et Christiane (1)
D'aucuns préfèrent les couvertures (Romy, dans l'Aveyron), d'autres les oreillers (Whisky, Goiânia)
Certains privilégient le carrelage (Lôbo, Goiania)
D'autres encore préfèrent gambader dans la nature....
(Zazie-chat et Gaïa-chien, dans le Beaujolais)
(1) chez lesquelles tous ces profiteurs coulent des jours heureux!!
lundi 2 mars 2015
Olof et Carlos
La société est l'œuvre des hommes. Si quelque chose est erroné, on peut le modifier
(Olof Palme)
A l’occasion de l’anniversaire de la mort du Premier
Ministre suédois Olof PALME, abattu dans une rue de Stockholm le 28 février
1986, notre ami uruguayen Carlos MEDINA VIGLIELM raconte qu’en 1982, quand il travaillait à LM
Ericsson, Olof Palme vint visiter l’usine.
Avisant Carlos, dont l’aspect physique détonnait un peu parmi tous ses
collègues (notre ami n’est pas du genre
grand et blond !), le Ministre se dirigea vers lui et, en lui serrant la main, lui demanda s’il était bien traîté en Suède. Carlos
en profita pour le remercier pour tout ce qu’il avait fait et continuait à
faire pour les exilés latino-américains comme lui. En lui serrant une nouvelle
fois la main, Palme lui confia : j’ai plusieurs amis uruguayens...
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