Non, ce n’est pas Whisky notre chat brésilien ! Celui-ci, parisien, était celui de mes parents,
récupéré tout chaton, en 1955, à
l’abandon sur un des quais de la Gare de Lyon où travaillait mon père.
En référence au film « La Belle et le
Clochard » sorti à cette époque, mes parents appelèrent leur nouveau
pensionnaire SIAM car il accumulait les bêtises comme SI et AM les deux horribles chats siamois
de Tante Sarah, y compris en renversant le bocal où nageait paisiblement - jusqu'à son arrivée ! - notre poisson rouge !
A part la ressemblance avec son lointain cousin de
Goiânia, il était tout aussi caractériel
et, de plus, mauvais joueur : je
lui avais appris à jouer à cache-cache (ici « esconde-esconde ») dans
l’appartement. Quand il me trouvait (ce qui ne tardait guère car les lieux
n’étaient pas très grands !), il essayait de me mordre ou de me
griffer !!
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