BONNE FIN DE SEMAINE !

En ce  dernier samedi de janvier, la pluie, après plusieurs jours, a décidé de faire une trêve.

Mes aigles à deux têtes (1)

L’année suivant notre installation à Goiânia, j’ai eu la visite d‘une vieille dame et de son mari : elle se présenta en tant qu’architecte de notre maison et sa première occupante, une trentaine d’année auparavant. Je leur proposai d’entrer et de visiter leur ancien chez eux. Elle s’étonna, toute contente, que, à  part évidemment notre décoration personnelle,   rien n’avait changé dans son ancienne maison,  qu’aucune transformation n’avait été effectuée. Je lui rétorquai qu’il n'y avait guère de  raison de modifier une maison qui avait si bien pensée et si bien construite.

Mes visiteurs étaient ravis. En repartant, elle passa une main caressante sur l’un des aigles à deux têtes qui ornaient la porte d’entrée et me dit émue : « c’est mon frère, maintenant décédé,  qui a sculpté cette porte ».

TAPAJÓS

Ces colliers, qui m’ont été offerts par une amie brésilienne, sont présentés comme de l’artisanat Tapajós. Ces derniers vivaient entre les rivières  amazoniennes  Madeira et Tapajós. La tribu n'existe plus de nos jours.

Mais il faut croire que son artisanat a perduré. D’ailleurs, un centre d’artisanat tapajós a été inauguré en 2015 à Santarem, ville située au confluent du Rio Tapajós et de l’Amazone.

Le rio Tapajós est l’un des nombreux affluents de l’Amazone. Selon les termes géographiques, il ne peut être considéré comme un fleuve  puisque ne se jetant pas dans l’Atlantique, mais il a néanmoins une longueur de 2.300 km !

Contrairement à l’Amazone, ses eaux sont claires et transparentes, d’où la présence de superbes plages de sable blanc.  

La dernière conversation...

....entre l'artiste peintre  brésilien Pierre de Freitas et Yvan en septembre 2011 : Yvan perdit la voix trois mois plus tard et Pierre vient aussi de disparaître victime  d'une chute mortelle.

Les amoureux en cage !

Une amie,  habitant sur la Côte d'Azur,  vient de m'envoyer cette jolie image

La sculpture, du Catalan Jaume Plensa, est érigée sur le port d'Antibes.

Jardin d'entrée

Sous la fine pluie de ce matin, le croton, le massif de kalenkoe, le dama-da-noite que l'époux avait fait planter sur le trottoir l'année de notre arrivée.

La pluie n'empêche pas ce sacripant d'être à l'affût d'un mauvais coup!