mardi 26 septembre 2017

SAUDADE...

STOCKHOLM - 1967
GOIANIA - 2017


 Une rose pour chaque année de mariage...

D'un ami brésilien (connu en Afrique), j'ai reçu ce très beau poème de l'écrivain paraguayen Augusto ROA BASTOS (1917/2005)



L’Homme a deux naissances, une quand il vient au monde, l’autre en mourant.


Il meurt mais il continue à vivre,  à renaître dans d’autres, dans la mesure où il a été juste et bon pour son semblable.


Et si  au cours de sa vie il a su s’oublier lui-même pour faire le bien, la terre détruit son corps mais pas sa mémoire,


qui reste gravée dans le marbre  éternel du regret.

(extrait du "Fils d'Homme")

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