STOCKHOLM - 1967
GOIANIA - 2017
Une rose pour chaque année de mariage...
D'un ami brésilien (connu en Afrique), j'ai reçu ce très beau poème de l'écrivain paraguayen Augusto ROA BASTOS (1917/2005)
L’Homme a deux naissances, une quand il vient au monde, l’autre en
mourant.
Il meurt mais il continue à vivre, à renaître dans d’autres, dans la mesure où
il a été juste et bon pour son semblable.
Et si au cours de sa
vie il a su s’oublier lui-même pour faire le bien, la terre détruit son corps
mais pas sa mémoire,
qui reste gravée dans le marbre éternel du regret.
(extrait du "Fils d'Homme")
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