Nostalgie...

Vue de la fenêtre de ce qui fut le bureau d'Yvan  au premier étage : le bougainvillée qu'il avait fait planter l'année de notre arrivée à Goiânia.

 

La vie est belle !

Après quatre mois de cohabitation, Maya a l'air de penser qu'elle a bien choisi son humaine : la vie est agréable dans cette maison !

Mes deux Pharaonnes

Il se tient actuellement à la Philarmonie de Paris, une exposition dédiée aux musiques,  « Almusiqa ». Sur l'affiche, est à l'honneur   celle qui fut surnommée « L’Astre d’Orient », appelée par Charles de Gaulle « La Dame » et par Maria Callas « Le Voix incomparable », la grande chanteuse égyptienne OUM KALTHOUM (1898/1975)

Souvenirs, souvenirs...

Deux femmes marquèrent profondément le voyage que j’ai effectué  avec l'une de mes amies en Egypte en 1964.

La première fut OUM KALTHOUM.

Durant notre séjour  d’une semaine au Caire, des haut-parleurs installés dans toute la ville, diffusaient des discours du  Président Nasser, sans doute soucieux d’asseoir son pouvoir. (1). La bonne parole du Raïs était relayée par Oum Kalthoum, en pleine gloire à cette époque. Avec l’amie qui m’accompagnait durant ce voyage, nous ne comprenions pas mieux ce que disait l’un et ce que chantait l’autre, mais nous préférions  nettement la chanteuse au tribun  !

La seconde fut NEFERTITI.

 

A part la très fameuse représentation de cette reine qui peut être admirée au  Musée de Berlin, je savais qu’il en existait une autre au Caire. A la suite d’une quête quasiment frénetique dans le musée, je finis par la découvrir au fond d’une vitrine.

 











Sculptée dans du quartzite rose, elle était magnifique, digne de la signification du nom de Nerfertiti : « la belle est venue »...

Pour les jeunes générations « IPODiennes », IPHONiennes » et  souvent incultes qui se retrouveraient par mégarde sur mon blog :

Gamal Abdel NASSER (1918/1970).  Homme d’Etat égyptien. Il mena une politique socialiste et  panarabe. Il est aujourd'hui considéré comme l'un des dirigeants les plus influents du XX^e siècle

Matamorphose

Photographiée  sur le trottoir de mes voisins.

Hier 10 heures

Ce matin, 8 heures

Tango, flamenco.... et Gascogne.

Une amie française de la région de Bordeaux vient de me faire part de son enthousiasme après avoir assisté à un spectacle de tango, joué et dansé.

J’ai retrouvé il y a quelques jours, au fond d’un tiroir,  un cahier où Yvan, il y a plusieurs années, avait noté quelques impressions, parfois très sévères !  Fort  à propos,  voici justement l’une d’elles :

Le tango est l’âme populaire argentine, mais ne concerne que Buenos Aires.

Le flamenco est l’âme gitane de l’Espagne, mais ne concerne que l’Andalolousie.

L’immobilisme est l’âme profonde de la France, mais concerne particulièrement la Gascogne. 

Conclusion : un déçu du Sud-Ouest....

Extrait d'un cahier de dessins  que le  peintre argentin  Ricardo CARPANI  (1930/1997)

m'avait dédicacé en 1982 

LE PETIT BOUQUET DU JOUR

Luzinho, mon  chat en cristal vert malachite (1)  mesure 12 cm de haut, socle compris :  c'est dire l'ampleur de mon bouquet !

(1) Il doit avoir à peu près mon âge : il est sorti de l'atelier de Heinrich Hoffmann, verrier d'origine tcheque qui s'est installé à Paris au début du 20ème siècle et qui est  décédé en 1938...

Concert Vivaldi

J’ai eu le privilège hier de figurer parmi les 80 invités à ce concert. 

Pourquoi, un nombre d’auditeurs aussi restreint ? Il se tenait dans la (superbe) maison, où je suis déjà allée plusieurs fois, de Marina Marcia da Silva. Amoureuse de l’Italie – et d’un Italien – Marina consacre maintenant une partie de son temps à honorer la mémoire de son compagnon, Attilio Zamperoni,  disparu il y a deux ans. (voir mon blog du 31/10/2016), principalement en multipliant  les relations culturelles entre Goiânia et  et l’Italie.

La soirée était dédiée à Vivaldi. Le chef d’orchestre, Roberto Zarpellon,  et la violoniste virtuose, Maristella Patuzzi,  venaient d’Italie et l’orchestre de chambre était composé de 14 jeunes musiciens de Goiânia.

(à suivre)

Absence

Un choix difficile

Il fait beau aujourd'hui sur Goiânia.

MAYA hésite entre une promenade à cheval, ou une sieste dans le coffre où s'entassent des tissages du Guatemala !

En définitive, elle a opté pour une sortie dans le jardin  !