Pièce rapportée !!

Un cousin Avena de Mendoza m'a fait parvenir ceci : 

C'est bien flatteur mais, hélas, je ne suis pas "née Avena" : je ne suis qu'une pièce rapportée... Dommage...

(Avena signifie créativité, passion et force. Quiconque porte ce nom vient d'un noble lignage. Ceux avec le nom Avena sont connus pour leur indéfectible loyauté)

Rescapé

FICHE SIGNALETIQUE

Genre : canidé

Sexe : masculin

Nom : Biscoito (prononcer « bisco-i-to)

Age : environ deux mois

Race : indéterminée

Origine : carton  (avec ses frères et sœurs) abandonné sur le bord d’une route à grande circulation à la sortie de Goiânia. (il y a de grandes âmes de par ce vaste monde !)

Lieu d’adoption : l’un des marchés de la ville.

Famille adoptive  : Céline,  Mathilde, Fabio et Anselme.

COMMENTAIRES.

Deux ou trois chiots, sortis du carton avaient déjà été écrasés par des automobilistes, jusqu’au moment où l’un d’entre eux, saisi de compassion, appela la police de la route et  les rescapés furent  mis à l’adoption. 

 

Biscoito a ainsi débarqué dans une maison où se vautrent déjà trois chats et un chienne. Cette dernière, style basset-teckel-saucisse, acariâtre envers les visiteurs (après plusieurs années je n’ai jamais réussi à la caresser !) s’est mis a grogner   le premier jour envers ce nouvel envahisseur, un peu moins le deuxième jour et depuis le troisième jour  elle partage sa niche avec le chiot ! Quand aux greffiers, l’un crache et les deux autres ignorent le nouveau venu. Ces   informations remontent à une semaine.

A propos de diplômes (suite)

Très longtemps avant l’obtention de mon dernier certificat (voir mon précédent blog), celui de mon grand âge, en quelque sorte, il y eut celui de mon jeune âge :

Certes, il était plus modeste mais il était accompagné d’une très belle édition du « Livre de la Jungle », illustré par Roger Reboussin, peintre  essentiellement animalier et lithographe (1881/1965).

 

A propos de diplômes

Depuis notre installation à Goiânia, les autorités de cette ville ont toujours été bienveillantes à notre égard.

La dernière preuve en est ce joli diplôme que j’ai reçu il y a quelques semaines. Le motif ?  La tenue de mon blog depuis 12 ans. Je cite : «  pour services rendus dans la divulgation des actions culturelles de la société de Goiânia, projetant ainsi notre capitale sur la scène locale, régionale, nationale et internationale ».

 Gentil, non ? A noter quand même que durant les trois dernières semaines, mon blog a eu des visiteurs de 15 pays d’Europe, auquel il faut ajouter, évidemment, le Brésil mais aussi l’Argentine, les Etats-Unis, le Maroc, l’Algérie, le Soudan, l’Indonésie, la Corée du Sud, et, plus surprenant encore, les Emirats Arabes Unis et le Bahrein !

J’étais en bonne compagnie lors de la petite cérémonie car ont été récompensés des représentants de l’art visuel, du théâtre, de la littérature, de la danse, du cirque etc. (à suivre)

Beauté

Elle a éclos ce matin

(diamètre : 13 cm)

 

Escale à Guayaquil

Regardant récemment un reportage sur l’Equateur, je me suis rappelée avoir mis les pieds une seule fois dans ce pays, et seulement pendant deux heures ! Yvan étant resté à Buenos Aires avec sa mère,  je suis rentrée seule à Guatemala, sur un vol qui faisait escale à Guayaquil.

Construite au fond d’un golfe du même nom, Guayaquil, capitale de la Province de Guyas, est la seconde ville de l’Equateur  et le port principal du pays, lieu notamment d’embarquement pour les Iles Galapagos. Dans les deux provinces voisines se trouvent les hauts lieux de la confection du fameux panama :  Montecristi et Cuenca.

Le panama en effet n’a rien a voir avec le pays et le nom lui en été donné lors de la construction du canal de Panama, pendant laquelle les ouvriers portaient tous ce chapeau, dont le nom jusqu’à cette époque était  toquillas.   Il est confectionné avec une  fibre végatale appelée pajamocora, extraite d’un palmier qui ne pousse qu’en Equateur.

Inutile de préciser que les boutiques de l’aéroport regorgeaient de panamas. 

J’en achetai donc un pour Yvan. Ils étaient vendus repliés dans des petites boîtes en bois.La fibre est si souple qu’une fois extrait de sa boîte, le chapeau reprend immédiatement sa forme.

 

 Yvan et son panama à Pirénopolis

Amitié

LEON et son copain

(Photo Monique T. journaliste)

Maya : sosie ou réincarnation ?

“Affaires étrangères”,  Prix Renaudot 1979, roman de Jean-Marc Roberts (1954/2013).Je l’avais lu en son temps, mais je suis dans une période de re-lecture...

Réédité en 1981 pour la « Bibliothèque du Temps Présent » sous une présentation cartonnée assez luxueuse, le livre commence par une entrevue avec l’auteur, et des photographie en noir et blanc.

Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir, en compagnie de l'auteur,  le sosie de Maya ! Peut-être est-ce elle, d’ailleurs, dans une des sept vies qu’on prête aux chats !