Mes deux "sans toit" font la sieste devant le garage.
La précarité n'empêche pas la solidarité : ainsi, au premier plan, Tikal, solide matou, veille sur sur son copain Miro, (1) à demi aveugle.
(1) "miro" : terme populaire, un peu tombé en désuétude, qui signifiait "ne rien voir", ce qui, en language bien-pensant de notre époque correspond à "mal voyant"...
Chroniques de la vie quotidienne à Goiânia (Centre du Brésil)par une Française.
mercredi 30 octobre 2019
vendredi 25 octobre 2019
La pâtisserie du jour
Gâteau aux pommes aromatisé à la fève de tonka et recouvert d'amandes effilées.
Cette fève de tonka, que m'a fait connaître une amie française de Goiânia, est une véritable délicatesse. Elle est produite par un arbre tropical poussant essentiellement au Venezuela, en Guyane et au Brésil. Ses fruits sont séchés pendant une année avant d'en extraire la fève. Cette dernière est utilisée rapée, comme la noix de muscade. Impossible - pour moi en tout cas - de définir son arôme : caramel ? café ? vanille ?
Très difficile en tout cas de la trouver au Brésil : celles-ci m'ont été apportées de France...en provenance de Guyane !
Cette fève de tonka, que m'a fait connaître une amie française de Goiânia, est une véritable délicatesse. Elle est produite par un arbre tropical poussant essentiellement au Venezuela, en Guyane et au Brésil. Ses fruits sont séchés pendant une année avant d'en extraire la fève. Cette dernière est utilisée rapée, comme la noix de muscade. Impossible - pour moi en tout cas - de définir son arôme : caramel ? café ? vanille ?
Très difficile en tout cas de la trouver au Brésil : celles-ci m'ont été apportées de France...en provenance de Guyane !
mardi 22 octobre 2019
Le visiteur du matin
Hier matin, quand je
suis arrivée dans le salon, ma tasse de café dans la main, j’ai constaté que ma petite piscine avait été
quelque peu mise à mal par des coups de vent nocturnes. Cela n’empêchait pas un
gros canard d’y nager tranquillement !!
Surnommé immédiatement Oscar, il n’a pas été effrayé quand
je me suis approchée pour le photographier. Il a ensuite opéré une sortie dans
le jardin, et a essayé de socialiser
avec Maya, qui n’était pas du tout d’accord.
Déçu, il est retourné
barboter dans son élément favori.
Quand le jardinier est arrivé, je lui ai recommandé de faire attention à Oscar, mais
celui-ci avait disparu ! Il s’agissait vraiment d’un canard volant car la
clôture du jardin est assez haute...
Deux heures plus tard, lorsque Eloisio est venu nettoyer la piscine, il m’a
raconté avoir déjà vu ce canard dans la piscine de voisins. Il a ses points d’eau,
en quelque sorte !!
jeudi 17 octobre 2019
REVEIL
Après plusieurs mois de léthargie, mon hibiscus s'est réveillé ce matin : il avait sans doute oublié que nous sommes au printemps (1) au Brésil depuis trois semaines ! voici sa première fleur. Une douzaine de boutons attendent patiemment leur tour....
(1) Un printemps à la brésilienne : 36° / 23° aujourd'hui à Goiânia !
(1) Un printemps à la brésilienne : 36° / 23° aujourd'hui à Goiânia !
mardi 15 octobre 2019
mercredi 9 octobre 2019
Musée
La restauration de l'ancienne gare ferroviaire de Goiânia (cf mon blog du 23 août) a été l'occasion de consacrer, au premier étage, un petit musée à une personnalité de la ville, Frei Nazareno CONFALONI. (1917/1977).
Ce frère dominicain, né en Italie, s'installa en 1950 à Goiânia. Enseignant, son passe-temps favori fut la peinture et le dessin.
Peinture murale (qui aurait gagné à être restaurée avant son installation car elle est bien pâlichonne).
Ce frère dominicain, né en Italie, s'installa en 1950 à Goiânia. Enseignant, son passe-temps favori fut la peinture et le dessin.
Peinture murale (qui aurait gagné à être restaurée avant son installation car elle est bien pâlichonne).
Franchement, je préfère son zébu à la Van Gogh que sa sinistre bonne sœur !
Le bon frère était-il macho ?
vendredi 4 octobre 2019
Nouveau décor
Si la couleur de ce huipil, que je viens d'accrocher dans le salon, est violet épiscopal, je ne crois pas que la tisseuse maya ait voulu rendre hommage à un évêque !
Il vient de San José, un petit village à une quarantaine de km de la ville de Guatemala. Il est broché de motifs géométriques et d'oiseaux et se compose de trois panneaux (début décade 90).
Il vient de San José, un petit village à une quarantaine de km de la ville de Guatemala. Il est broché de motifs géométriques et d'oiseaux et se compose de trois panneaux (début décade 90).
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