jeudi 10 septembre 2020

MES DEUX REGRETS (1)

 Le  premier est de n’avoir pu adopter un âne, qui aurait gambadé joyeusement dans mon pré, en boulottant tranquillement ses carottes au lieu de servir d’esclave à la gent humaine, ce qui est son lot depuis la nuit des temps... Sans imagination, je l’aurais appelé Cadichon, en mémoire de celui de la Comtesse de Ségur qui  a enchanté ma  jeunesse.

                                                      Sur Marquise, l'ânesse (Creuse, 1947)
 

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