Le premier est de n’avoir pu adopter un âne, qui aurait gambadé joyeusement dans mon pré, en boulottant tranquillement ses carottes au lieu de servir d’esclave à la gent humaine, ce qui est son lot depuis la nuit des temps... Sans imagination, je l’aurais appelé Cadichon, en mémoire de celui de la Comtesse de Ségur qui a enchanté ma jeunesse.
Sur Marquise, l'ânesse (Creuse, 1947)
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