1/2 SIECLE : ça passe vite.....
Chroniques de la vie quotidienne à Goiânia (Centre du Brésil)par une Française.
jeudi 30 juin 2022
samedi 25 juin 2022
SAMEDI
C'est le jour des mariages dans mon pays natal, celui où les Maires (ou éventuellement leurs adjoints) et les Curés ne chôment pas !!
J'ignore quel jour de la semane a eu lieu le mariage suivant....
Filliberto Chali - 1992 - Le mariage
dimanche 19 juin 2022
ROSEMARIE
J'ai reçu à la fin du mois dernier cette invitation.
Mon amie Rosemarie, une berlinoise, est installée à Antibes depuis longtemps, à l'époque où nous avions notre galerie Art Club.
Bien sûr, je n'ai pu me rendre au vernissage mais je me console avec son très grand tableau accroché dans mon salon.....
samedi 11 juin 2022
Coïncidences troublantes (suite)
Troublée par cette coïncidence, j’en parle le lendemain matin par téléphone à une amie française, laquelle me répond : «tu n’es pas au bout de ta surprise. Figure-toi qu’hier lors d’une leçon de français que je donnais à une jeune Brésilienne, celle-ci me confie adorer Victot Hugo après avoir lu un de ses livres et me demande s’il a écrit également des poèmes. Je lui ai donc récité le fameux poème, « appris par cœur » dan ma jeunesse...
Mis trois fois à l’honneur dans la même journée, les mânes du célèbres barbu doivent être ravis !
PS l’après-midi, regardant le tournoi de Roland Garros à la TV, je tombe sur un match entre un Danois et un Français. L’identité de mon compatriote ? Gaston HUGO ! Renseignements pris, aucun de ses ancêtres ne se prénommait Victor.....
mardi 7 juin 2022
Coïncidences troublantes (1)
Il y a quelques jours, en ouvrant mon ordi, je vis qu’une de mes relations sur Facebook avait publié ce poème de Victor Hugo, père déchiré après la noyade de sa fille Léopoldine :
Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
Nostalgie d’une époque de bancs d’école où on nous faisait « apprendre par cœur » des poèmes ?
Le soir du même
jour, je regarde une émission policière. Une enquête sur la disparition d’une
petite fille. Le film se termine par les obsèques de l’enfant : devant le
petit cercueil blanc, un proche lit le fameux poème.... (à suivre)