Mondialisation oblige!
Je me suis aperçue, en déballant le paquet, que ces asperges étaient accompagnées d'une étiquette portant notamment l'indication "produce of Peru"...
mardi 28 juin 2011
ASPERGE INCA
Mondialisation oblige!
Je me suis aperçue, en déballant le paquet, que ces asperges étaient accompagnées d'une étiquette portant notamment l'indication "produce of Peru"...
samedi 25 juin 2011
Rossana en connaît un rayon....
Après celles de l’ami Fogaça, voici les bicyclettes de Rossana JARDIM! Elles étaient exposées dans le hall d’un grand hotel de Goiânia.
J’aime beaucoup les compositions de Rossana, qui explore tour à tour, en les habillant de couleurs vives et pimpantes, les machines à pipocas (voiture à bras où est fabrique le pop-corn), les vieilles machines à écrire, les appareils photos, etc,
J’aime beaucoup les compositions de Rossana, qui explore tour à tour, en les habillant de couleurs vives et pimpantes, les machines à pipocas (voiture à bras où est fabrique le pop-corn), les vieilles machines à écrire, les appareils photos, etc,
jeudi 23 juin 2011
ARA
Au cours d'une promenade à Pirénopolis, petite ville pittoresque à quelques 140 kms de Goiânia, une amie française a fait la connaissance de ce superbe ara apprivoisé.
Comme l'animal est assez méfiant envers les inconnus, sa propriétaire a recommandé à la photographe de rester hors d'atteinte de son puissant bec!
(photographies de Elisabeth Reger - 2 juin 2011)
Comme l'animal est assez méfiant envers les inconnus, sa propriétaire a recommandé à la photographe de rester hors d'atteinte de son puissant bec!
(photographies de Elisabeth Reger - 2 juin 2011)
mardi 21 juin 2011
Dégât des eaux!
la dernière saison des pluies a un peu chamboulé la nature des activités de cette société!
Il suffit simplement d'ajouter le "u" et le "l" qui ont fugué pour lui rendre sa dignité...
Il suffit simplement d'ajouter le "u" et le "l" qui ont fugué pour lui rendre sa dignité...
dimanche 19 juin 2011
BON DIMANCHE!
L'époux prétend que Charlie est dans son serpent :
Mon petit copain a l'air si absorbé et concentré que je me demande, pour ma part, s'il n'essaie pas de résoudre la vieille enigme de la quadrature du cercle!
Mon petit copain a l'air si absorbé et concentré que je me demande, pour ma part, s'il n'essaie pas de résoudre la vieille enigme de la quadrature du cercle!
vendredi 17 juin 2011
CESAIRE-LAM (2)
Le poète et le peintre avaient tant de points communs qu’ils ne pouvaient que devenir les amis qu’ils furent durant des décennies. Antillais, formés en Europe grâce à des bourses (France pour CESAIRE, Espagne puis France pour LAM), c’est à Paris qu’ils firent chacun les rencontres qui furent determinantes dans leurs cheminements respectifs : Leopold Sedar Senghor pour CESAIRE, PICASSO pour LAM. Ils regagnent leurs îles natales, le premier en 1939, le second en 1941.
Mais c’est en Martinique qu’ils se rencontrèrent. En 1941, um navire em provenance de Marseille fit escale à Fort de France. A son bord, à part Wilfredo LAM (1), nombre d’intellectuels et leurs familles désireux d’échapper au régime nazi, dont André Breton, Claude Lévi-Strauss, Ana Seghers, Victor Serge et André Masson. Ils seront tous invites chez CESAIRE...
Chez nous, le poète et le peintre sont présents : le premier dans le bibliothèque d'Yvan, le second sur le mur à côté de mon bureau.
(1) qui avait déjà du fuir l'Espagne car il s'était engagé aux côtés des Républicains.
Mais c’est en Martinique qu’ils se rencontrèrent. En 1941, um navire em provenance de Marseille fit escale à Fort de France. A son bord, à part Wilfredo LAM (1), nombre d’intellectuels et leurs familles désireux d’échapper au régime nazi, dont André Breton, Claude Lévi-Strauss, Ana Seghers, Victor Serge et André Masson. Ils seront tous invites chez CESAIRE...
Chez nous, le poète et le peintre sont présents : le premier dans le bibliothèque d'Yvan, le second sur le mur à côté de mon bureau.
(1) qui avait déjà du fuir l'Espagne car il s'était engagé aux côtés des Républicains.
mardi 14 juin 2011
La semaine passée, petit séjour de 24 heures à l’hopital de notre quartier.
Je n’ai raté :
Ni le lever de soleil sur le secteur sud vers 6 H 30
Ni le copieux petit déjeûner qui a suivi,
Ni ma sortie plus tard, dans la matinée, furibarde, en claquant les portes (c’est une image) après avoir vainement attendu la facture plus de deux heures! J'ai chargé la gentille infirmière qui trottinait derrière moi en portant mon sac jusqu'au taxi d'informer le service comptable qu'il veuille bien me téléphoner quand ladite facture serait ENFIN prête!
Deux remarques :
- Tout a été régularisé le lendemain. De toute manière, le chèque de garantie qu’on m’avait fait déposer était largement supérieur à la somme due..
- Non, je n’ai pas “mauvais caractère” : j’ai DU caractere!!!
Je n’ai raté :
Ni le lever de soleil sur le secteur sud vers 6 H 30
Ni le copieux petit déjeûner qui a suivi,
Ni ma sortie plus tard, dans la matinée, furibarde, en claquant les portes (c’est une image) après avoir vainement attendu la facture plus de deux heures! J'ai chargé la gentille infirmière qui trottinait derrière moi en portant mon sac jusqu'au taxi d'informer le service comptable qu'il veuille bien me téléphoner quand ladite facture serait ENFIN prête!
Deux remarques :
- Tout a été régularisé le lendemain. De toute manière, le chèque de garantie qu’on m’avait fait déposer était largement supérieur à la somme due..
- Non, je n’ai pas “mauvais caractère” : j’ai DU caractere!!!
dimanche 12 juin 2011
CESAIRE - LAM (1)
Nous venons de recevoir un três beau livre expédié par des amis de Vallauris. Merci Marie-Renée et Christian...
Aimé CESAIRE (Basse-Pointe, Martinique, 1913/ Fort de France, 2008)
“J’habite une blessure sacrée
J’habite des ancêtres imaginaires
J’habite un vouloir obscur
J’habite un long silence
J’habite une soif irrémédiable”
(Premiers vers du poème “Calendrier lagunaire” que CESAIRE a souhaité voir graver sur sa tombe)
Wilfrido LAM (Saga la Grande, Cuba, 1902/Paris, 1982)
“J’ai peint des tableax pleins d’amour et d’autres qui, bien qu’ils n’en soient pas dépouvus, sont de véritables drames”.
Aimé CESAIRE (Basse-Pointe, Martinique, 1913/ Fort de France, 2008)
“J’habite une blessure sacrée
J’habite des ancêtres imaginaires
J’habite un vouloir obscur
J’habite un long silence
J’habite une soif irrémédiable”
(Premiers vers du poème “Calendrier lagunaire” que CESAIRE a souhaité voir graver sur sa tombe)
Wilfrido LAM (Saga la Grande, Cuba, 1902/Paris, 1982)
“J’ai peint des tableax pleins d’amour et d’autres qui, bien qu’ils n’en soient pas dépouvus, sont de véritables drames”.
jeudi 9 juin 2011
Bientôt l'hiver, à Goiânia...
Il y a quelques mois, j'avais écrit que l'azalée "s'était mise au repos"...expression qui avait beaucoup plu à une amie argentine habitant à Sâo Paulo.
Chère Ana, je puis t'affirmer, preuve à l'appui :
que l'azalée est sortie de sa léthargie!
Mon petit coin lecture-pause-café est encore plus agréable...
Chère Ana, je puis t'affirmer, preuve à l'appui :
que l'azalée est sortie de sa léthargie!
Mon petit coin lecture-pause-café est encore plus agréable...
dimanche 5 juin 2011
samedi 4 juin 2011
LE VENERABLE
Le couvert de cet arbre, qui croît dans un petit parc à 100 mètres de notre maison, est si imposant qu'il m'a été difficile de le faire tenir dans la photograhie!
Le tronc et les racines sont à la mesure du géant...
Il est habillé de jolies feuilles vernissées, simples mais de bon goût...
J'ai essayé, en vain, de savoir le nom de cet arbre que j'admire à chacun de mes passages. La dernière tentative fut de m'adresser à deux dames qui papotaient a proximité. Elles l'ignoraient. L'une d'elles, après un coup d'oeil dédaigneux vers mon Vénérable, répondit : "Il ne donne même pas de fruits..." Une gourmande, certainement, mais pas une esthète!!
Le tronc et les racines sont à la mesure du géant...
Il est habillé de jolies feuilles vernissées, simples mais de bon goût...
J'ai essayé, en vain, de savoir le nom de cet arbre que j'admire à chacun de mes passages. La dernière tentative fut de m'adresser à deux dames qui papotaient a proximité. Elles l'ignoraient. L'une d'elles, après un coup d'oeil dédaigneux vers mon Vénérable, répondit : "Il ne donne même pas de fruits..." Une gourmande, certainement, mais pas une esthète!!
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