lundi 22 août 2011

NHORINHA


La semaine dernière, des amis brésiliens sont venus nous chercher pour nous faire découvrir un restaurant-bar-galerie dont ils nous disaient grand bien.


Après la visite de la galerie – où l’on peut également se faire servir le repas – on nous explique que les lieux sont gérés par une famille de Japonais brésiliens. L’un d’eux vient d’ailleurs faire la causette à notre table. Sympathique, mais je suis très pessimiste sur la suite des opérations : tant l’époux que moi n'aimons pas les sushis, très à la mode ici. C’était oublier un peu vite que les Brésiliens sont également grands consommateurs de bovins : nous avons dégusté la meilleure viande depuis notre arrivée à Goiânia : goûteuse, tendre, grillée selon notre préférence, c’est-à-dire dans la meilleure tradition des voisins argentins.













Yvan (moi aussi d’ailleurs !) s’est tellement régalé que lors du prochain passage du restaurateur brésilien-nippon, il lui a demandé s’il ne serait pas plutôt d’ascendance argentine ! Cela l’a bien amusé mais pas sa petite fille, Giovanna, qu’il tenait dans ses bras, laquelle dévisageait les convives avec un sérieux si impressionnant que je n’aurais pas osé lui avouer que je déteste les sushis !!

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