mardi 10 décembre 2013

BAMARA (suite)

Revenons  à Bamara

J’ai  particulièrement aimé :

-Sa description du monde rural de sa jeunesse.  A savoir les années précédant la seconde guerre mondiale, la période de l’occupation allemande et les quelques années qui ont suivi la Libération.
-Le respect qu’il voue à la mémoire de son père, qui était tout simplement, un homme « bien ».

-L’indulgence amusée avec laquelle il raconte les bévues, pour ne pas dire les sottises auxquelles  il fut confronté  durant toutes ses années de brousse.

-Son analyse pertinente sur ll’utilité  ou non d’avoir la prétention d’apporter de l’aide à tous les pays où il a vécu, une aide pensée par les Européens et rarement adaptée aux besoins des populations, pratiquement jamais  consultées..
J’ai  beaucoup aimé :

-Ses anecdotes de la vie journalière, ses « moments de vie » comme il les appelle, des rencontres, (parfois féminines, car, ainsi que le chantait Jacques Brel  dans « Les vieux amants » : « il faut bien que le corps exulte » !).
Je n’ai pas aimé du tout

-Ses histoires de chasses en tout genre.
Mais ce n’est pas de la faute de Serge : les massacres d’animaux pour de soi-disant bonnes raisons ou pour d’autres  n’ont  jamais eu ma sympathie...

Je sais que notre ami a   travaillé durant  des années sur cet ouvrage, qu’il   aurait pu  aussi intituler  « Un aventurier d’un monde perdu ». J’espère que beaucoup de lecteurs sauront  apprécier......

 Nota : ce surnom de « Bamara le lion » lui a été donné en Oubangui Chari

1 commentaire:

D a dit…

J'ai beaucoup aimé ce livre et j'ai envié Serge d'avoir vécu toutes ces aventures!