J’ai particulièrement aimé :
-Sa description du monde
rural de sa jeunesse. A savoir les
années précédant la seconde guerre mondiale, la période de l’occupation
allemande et les quelques années qui ont suivi la Libération.
-Le respect qu’il voue à la
mémoire de son père, qui était tout simplement, un homme « bien ».
-L’indulgence amusée avec
laquelle il raconte les bévues, pour ne pas dire les sottises auxquelles il fut confronté durant toutes ses
années de brousse.
-Son analyse pertinente sur
ll’utilité ou non d’avoir la prétention
d’apporter de l’aide à tous les pays où il a vécu, une aide pensée par les
Européens et rarement adaptée aux besoins des populations, pratiquement jamais consultées..
J’ai
beaucoup aimé :
-Ses anecdotes de la vie journalière, ses « moments
de vie » comme il les appelle, des rencontres, (parfois féminines, car,
ainsi que le chantait Jacques Brel dans « Les
vieux amants » : « il faut bien que le corps
exulte » !).
Je
n’ai pas aimé du tout
-Ses
histoires de chasses en tout genre.
Mais ce n’est pas de la faute de Serge : les
massacres d’animaux pour de soi-disant bonnes raisons ou pour d’autres n’ont jamais eu ma sympathie...
Je sais que notre ami a
travaillé durant des années sur cet ouvrage, qu’il aurait pu
aussi intituler « Un
aventurier d’un monde perdu ». J’espère que beaucoup de lecteurs
sauront apprécier......
1 commentaire:
J'ai beaucoup aimé ce livre et j'ai envié Serge d'avoir vécu toutes ces aventures!
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