Flânerie dans le parc Areiâo

Avec une amie française venue  passer quelques jours chez nous, nous avons fait, il y a quelques jours,  le tour du parc Areiâo situé à un km de la maison.
Des petits habitants du parc, pas trop farouches,  se régalaient!

Par ce dimanche pluvieux...

J'ai continué ma traque aux arbres en fleurs des rues avoisinantes...

Rue 118

Rue 122B

Rue 120 (en face de chez nous)

Whisky

Whisky, notre chat rustique, parfois même mal embouché, commence à acquérir de bonnes manières!
C'est ainsi qu'hier, pour sa sieste, il s'est poliment installé sur la taie d'oreiller que je lui avais préparée sur mon lit...

Guatemala/Córdoba/Goiânia....

Depuis que nous avons quitté définitivement le Guatemala en 1997,  la Galerie SOL DEL RIO, établie  dans la capitale, dans nous a tenus régulièrement informés de ses activités.
Voici l'exposition de ce mois de février :

L'œuvre de ce photographe que nous détenons dans notre collection est d'ailleurs un cadeau d'adieux de nos amis Lucrecia et Victor, propriétaires de la galerie.

Luis Gonzalez Palma, né au Guatemala en 1957,  vit actuellement à  Córdoba en Argentine.

Le montage ci-dessus a été effectué par mon amie Marijo de Saint-Laurent du Var... Merci....

Rua 121

Comme le temps du muguet, celui du quaresmeira ne dure pas.

Aussi, j’en profite pour traquer actuellement – photographiquement parlant ! – les arbres des environs.

Voici ceux de la rue 121, c’est-à-dire à une centaine de mètres de notre maison.

Beef Bistro

Je me suis rendue il y a quelques semaines dans une boutique   appelée « Beef-Bistro ». Vous êtes accueillis à l’entrée par ce bovidé.

Pour le « beef », il est d’excellente qualité. On peut se laisser tenter   également par des morceaux    de mammifères exotiques tels que capibara (capybara, le plus gros rongeur du monde), de cateto (pécari), de paca (agouti), ou  par du foie gras cru.

Je suis restée classique dans mes achats me contentant de boeuf et d’agneau, négligeant même le foie gras dont, malgré mes années de résidence dans le Gers (ou peut-être à cause de!) je ne suis pas très fanatique.

Quant à la seconde partie de l’enseigne, point de bistro ni de zinc pour y déguster un petit noir....ou un café-crême !

Bon dimanche!

Visite au Centre Culturel Oscar Niemeyer (suite)

Me voici arrivée au bâtiment en rotonde consacré aux expositions. Le public est composé seulement d’un garde de sécurité et de deux jeunes filles derrière une petite table où sont proposés les catalogues. On me demande immédiatement de signer le livre des visiteurs. On se calme, je signerai seulement en sortant !

L’exposition de Pacheco  se tient au premier étage. Au rez-de-chaussée, une sélection de peintres et d’ «installateurs »  locaux... Je commence à photographier un tableau qui me paraît un peu plus intéressant que les autres quand l’une des jeunes filles se précipite sur moi en me disant : « il est interdit de photographier ». Etonnée, je demande pourquoi. C’est le règlement ! Me voyant plutôt contrariée, elle passe la patate chaude : « Justement, le Commissaire de l’Exposition vient d’arriver. Si vous voulez lui parler »... Bien sûr, que je veux lui demander plus d’explications. Après m’avoir saluée courtoisement, M. Gilmar Camilo m’explique que le flash des appareils risquent d’endommager les oeuvres. « Mais vous pouvez photographier l’ensemble de l’exposition »...

Ne cherchant pas la polémique, je m’abstiens de lui rétorquer :

1)    Que ce n’est pas la foule des visiteurs qui va causer des dommages irréversibles.

     2)    Qu’il ne s’agit quand même pas de fresques ou de tableaux de la  Renaissance !

3)   Que les oeuvres de Ana-Maria Pacheco, à l’exception d’une peinture à l’huile, sont des gravures encadrées et sous vitres...

 

     Je quitte ce protecteur de l’art moderne brésilien et me dirige vers le second étage pour voir l’exposition  pour laquelle je suis venue. L’une des jeunes filles m’emboîte le pas. Un peu excédée je luis dis que j’ai parfaitement compris, que je ne prendrai pas de photos et que je préfère être seule avec Ana Maria !!

 

Voici donc les deux clichés que j'ai  été autorisée à prendre... Pas facile  dans ces conditions de se faire une opinion sur Ana Maria Pacheco!!!

 

Tigré pieux....

Chat inconnu, mais dont la piété ne laisse planer aucun doute!

Peintres urbains

Les propriétaires des maisons situées en bordure du petit parc voisin font de plus en plus appel aux peintres urbains pour agrémenter leurs murs.
Hier matin, en me rendant chez un de nos amis, j'ai découvert deux nouvelles fresques.

 

Un peu plus loin, j'ai remarqué que, pour sa part, en cette saison des pluies, la nature a sorti également sa palette et nous offre ses couleurs vertes du plus bel effet...