J'ai décidé d'aérer une partie de ma collection de huipils (blouses) du Guatemala.
Jai retrouvé, dans un coin de la réserve, un présentoir sur lequel j'ai accroché ces tissages qui étaient soigneusement pliés dans une armoire.
Les anthropologues, ethnologues et autres "logues" savants qui se sont penchés sur la civilisation maya nous entretiennent longuement sur leurs dieux, leurs vertus et, souvent, leur cruauté, mais paraissent souvent oublier les véritables déesses : ces modestes descendantes qui perpétuent leurs coutumes en continuant à tisser ces petites merveilles. Pour combien de temps encore ?
1 commentaire:
Très bonne idée! Il faut tout faire pour conserver ce véritable trésor.
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