Pour qui s’intéresse un tantinet à l’art plastique
du 20me siècle cet ouvrage ne lui
apprendra rien de bien nouveau sur le
sujet...
Ce fut une vie tumultueuse pour cette héritière du
puissant groupe américain, fondé par Meyer Guggenheim, d’origine juive
allemande, qui émigra aux U.S.A. au 19ème siècle.
Le papa de Peggy fut l’un de ces gentlemen en smoking, qui sombrèrent dignement avec le Titanic, en fumant un cigare et en
buvant leur dernier cognac (ou brandy ?).
Dotée d’une confortable rente à sa majorité, Peggy
s’éclata, se maria, trompa allègrement son mari et ses amants successifs !
Après quelques années, elle commença à
s’intéresser à l’art plastique de son temps. Ce qui lui permit de continuer à
jouer de son corps, qui était très beau,
semble-t-il mais surmonté d’un visage doté d’un nez en patate (les chirurgiens
esthétiques brésiliens n’étaient pas encore dans la course !), et elle épousa même
l’un des « grands » (pour moi) de son époque Marx Ernst.
L’un de nos regrets, avec Yvan, était de n’avoir jamais
été à New York visiter la fondation Guggenheim....
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire