mercredi 15 mai 2019

Brassens et les chats

Notre Brassens national était un amoureux inconditionnel des chats.
Pour preuve, la quatrième strophe de sa chanson "Le testament", où il évoque son remplaçant :

Qu'il boive mon vin, qu'il aime ma femme
Qu'il fume ma pipe et mon tabac
Mais que jamais - mort de mon âme
Jamais il ne fouette mes chats
Quoique je n'aie pas un atome
Une ombre de méchanceté
S'il fouette mes chats, y a un fantôme
Qui viendra le persécuter
 
 
 
Extrait de ma bibliothèque. Couverture du livre que lui a consacré René Fallet.

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