Je suis à court de lecture pour le moment. C’est
l’occasion de me replonger dans les livres – que je traîne de pays en pays
depuis des lustres – hérités de mes parents.
Petite émotion en ouvrant chaque livre, avec la signature
de mon père sur la première page.
Plaisir de redécouvrir quelques auteurs un peu oubliés à
notre époque. Comme par exemple l’Américaine Pearl Buck (1892/1973).
Elle a trois mois quand ses parents, missionnaires
presbytériens, s’installent en Chine. Elle apprend le mandarin avant l’anglais.
Elle
revient aux Etats-Unis pour suivre des
études universitaires et retourne en Chine, avec son mari agronome.
C’est dire que près de trente années en Chine lui ont
permis d’en approfondir la culture et de s’en inspirer dans nombre de ses romans.
Elle fut la première femme américaine à obtenir les
prestigieux Prix Pullitzer (1932) et Nobel de Littérature (1938).
(à suivre)
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