Non, il ne s’agit pas du Horace romain et cornelien :
celui-ci est uruguayen, Horacio QUIROGA,
né à Salto Oriental en 1878 et décédé à
Buenos Aires en 1937.
J’ai toujours aimé l’écriture sous forme de nouvelles. Si
au 19ème siècle Edgar POE
et Guy de MAUPASSANT furent de
grands novellistes, je pense que, au 20ème siècle, le fambeau est
revenu aux auteurs latino-américains, et en premier lieu, à QUIROGA. Et je ne
suis pas la seule de cet avis : des grands écrivains comme Julio Cortazar (franco-argentin), José Maria Arguedas (péruvien) et Augusto Roa Bastos (paraguayen) ont élu
Quiroga maître du genre.
Ces contes portent bien leur nom : amour, folie, mort, en ajoutant violence,
fantastique, cruauté, sans oublier parfois un certain humour.
Bref, à ne pas lire dans une maison isolée au fond d’un
bois !! (à suivre)
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