jeudi 25 avril 2013

Méchanceté

En vous faisant part du plaisir ressenti à la lecture du livre «Le coeur
cousu » (voir le 3 avril),  j’avais impudemment déclaré que la plupart des critiques parisiens sont tout à fait imperméables à la littérature latino-américaine.

Je viens d’en avoir la confirmation en lisant récemment qu’Angelo Rinaldi, romancier, critique et académicien, a un jour piétiné allégrement l’oeuvre de Garcia Marquez, en rebaptisant  "Cent ans de solitude » en « cent ans de platitudes »....

Il est vrai qu'il n’a pas reçu le Prix Nobel, lui.... Gros jaloux va!
Ce qui me console est que l'écrivain colombien doit se fiche totalement de l'opinion du Sieur Rinaldi!!

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