La salle du café du Centro Municipal de Cultura Ouro de Goiânia, si elle est très conviviale, n’est pas particulièrement conçue pour accrocher des tableaux. Difficile de les voir de près , d’autant que, dès leur arrivée, les invités vont s’échouer autour des petites tables pour le reste de la soirée!
La gentille Alessandra continue à travailler sur les signes, symboles et dessins de l’ethnie Karaja dont les survivants (environ 2.500) sont restés sur leurs territoires des bords du fleuve Araguaia.
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