Hier matin Whisky le chat est rentré du jardin d’un air affairé
: il ne miaulait pas mais piaillait, une aile verte dépassant de chaque côté de
son museau. Il venait d’attraper un joli petit perroquet jaune et vert.
Je m’active au sauvetage de l’oiseau en péril. D’abord,
faire lâcher prise au prédateur, ce qui ne fut pas facile. Le chat essayait de
me mordre et l’oiseau, affolé m’avait saisi un doigt dans son petit bec
recourbé. J’ai réussi à libérer mon doigt et à traîner le chat à l’extérieur.
J’ai récupéré le perroquet et pensait le
mettre quelque part pour qu’il se remette de son stress. Comme il continuait à
vuloir me pincer, je ne pris pas le temps de tenter de lui expliquer que dans
sa mésaventure, moi j’étais la gentille et le moustachu le méchant : j’ai
ouvert la porte donnant sur le jardin devant la maison et il s’est envolé
rageusement en protestant !!
Quant à Whisky, dépité et frustré, il a passé une partie de la
matinée à chercher son oiseau dans toute la maison. J’ai dû lui ouvrir les
placards, la réserve, les toilettes pour qu’il abandonne enfin ses
recherches !
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