Depuis hier matin, deux ouvriers-destructeurs, armés de
masses, s’acharnent sur une maison en face de chez nous. Ils y mettent
tant d’ardeur qu’il est à craindre que le toit ne leur tombe sur la tête !
Il semblerait que ce local appartienne à la commune de Goiânia.
Je ne félicite pas les architectes de notre ville, car
pour ce qui est de la protection des bâtiments, ils n’ont jamais dû en entendre
parler...
C’est ainsi que ces délicates balustres sont en sursis : celles qui bordaient l’autre côté de la terrasse sont déjà dans les gravats.
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