Invitée il y a quelques semaines à un vernissage dans un
quartier un peu excentré de la ville, j’ai eu le tort d’arriver à l’heure prévue, c’est à dire 20
heures. Erreur fatale :
personne ! J’ai attendu en
vain près de trois quart d’heures, pris quelques clichés et, lassée, j’ai abandonné les lieux et regrimpé
dans mon taxi...
J’ai beaucoup aimé le surréalisme de cette œuvre d’Elifas
Modesto qui nous avait habitué à plus de rondeurs. Exemple, cette sculpture que nous avions reçue Yvan et moi
il y a quelques années pour services rendus à la culture de Goiânia.
J’ai trouvé rigolo l’éléphant-papillon de Ricardo
Caldeiro, le fils d’une de mes très bonnes amies brésiliennes, Elisabeth
Caldeiro Brito... qui sont sans doute arrivés après mon départ !
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