vendredi 12 janvier 2018

Volley-ball



Il y a une quinzaine de jours, je regardais avec délectation  - mais sans illusions, les Brésiliens sont três forts dans mon sport préféré – un match Brésil-France de volley ball. En fait il s’agissait, je l’ai su ultérieurement, de la retransmission d’un match ayant eu lieu en juillet 2017 ! 
Interrompue par une communication téléphonique, je me précipitais, dès le récepteur reposé sur son socle,  devant l’écran de TV.
Le match se déroulait à Recife, donc avec un public essentiellement brésilien qui, sportivement, huait les joueurs français quand ils étaient au service !
Heureuse surprise, La France a gagné ! De justesse : 15 à 13 !
J’avoue m’être conduite en supporter lambda : je me suis levée d’un bond en poussant un grand cri.... comportement dont seul  a bénéficié Whisky  réveillé brusquement ! 

Les commentaires suivants sont strictement réservés aux fondus de volley-ball !
L’instant décisif : le Brésil vient de servir et le retour d’un smatch d’un des équipiers de la France met fin au match.... et à l’allegresse bruyante du public brésilien ...
 1961 – cherchez Monique ! (A l’issue du match France/Luxembourg,  lors du championat inter-banques européen). Figurent également sur la photo Marie-Louise Bretagne, alors capitaine de l’équipe de France (en bas, seconde à gauche)   et ma grande amie Liliane (debout, dernière à droite), sans oublier en bas à droite l’incourtournable Mme Michel, joueuse sur le retour qui, refusant d’abdiquer,  s’infiltrait partout, et que nous appelions la mère Michel !



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