Il y a une quinzaine de jours, je regardais avec
délectation - mais sans illusions, les
Brésiliens sont três forts dans mon sport préféré – un match Brésil-France de
volley ball. En fait il s’agissait, je l’ai su ultérieurement, de la
retransmission d’un match ayant eu lieu en juillet 2017 !
Interrompue par une communication téléphonique, je me
précipitais, dès le récepteur reposé sur son socle, devant l’écran de TV.
Le match se déroulait à Recife, donc avec un public
essentiellement brésilien qui, sportivement, huait les joueurs français quand
ils étaient au service !
Heureuse surprise, La France a gagné ! De
justesse : 15 à 13 !
J’avoue m’être conduite en supporter lambda : je me
suis levée d’un bond en poussant un grand cri.... comportement dont seul a bénéficié Whisky
réveillé brusquement !
Les commentaires suivants sont strictement réservés aux
fondus de volley-ball !
L’instant décisif : le Brésil vient de servir et le
retour d’un smatch d’un des équipiers de la France met fin au match.... et à
l’allegresse bruyante du public brésilien ...
1961 – cherchez Monique ! (A l’issue du match
France/Luxembourg, lors du championat
inter-banques européen). Figurent également sur la photo Marie-Louise Bretagne,
alors capitaine de l’équipe de France (en bas, seconde à gauche) et ma
grande amie Liliane (debout, dernière à droite), sans oublier en bas à droite
l’incourtournable Mme Michel, joueuse sur le retour qui, refusant
d’abdiquer, s’infiltrait partout, et que
nous appelions la mère Michel !
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