Pour épier les perroquets qui viennent chaque matin cancaner dans les arbres bordant
le jardin, Maya s’installe sur la table de travail du maître de maison (qu’elle
n’a pas connu).
Cette table est
restée comme Yvan l’a laissée, avec ses dictionnaires, « l’œuvre poétique »
de Raúl Gustavo Aguirre, son grand
ami, les cinq ouvrages de poésie de René
Char, envoyés par la veuve du poète, Marie-Claude Char, un livre de l’écrivain mexicain
Octavio Paz, Alejandra Pizarnik, (1) etc
(1) Poétesse argentine (1936/1972)
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