Cette semaine, nous sommes allés déjeuner « à la campagne ». A 20 km de Goiânia, l’expression n’est pas exagérée.. Un couple de Français s’est installé dans un « condominio », c’est à dire une grande propriété fermée et gardée où l’on doit montrer patte blanche à l’entrée, divisée en lots, où chacun se fait construire la maison de ses rêves…Celle de nos amis (comme les autres, j’imagine), n’est pas du style pavillon de banlieue parisienne : 500 m2, posés sur un ½ hectare de terrain, large terrasse couverte épousant le « U » de la construction, piscine, jacuzzi en plein air, arbres, fleurs, rien ne manque, même pas le belvédère permettant le soir de contempler au lointain les lumières de la ville !!!
A l’entrée, le maître des lieux, habile et bricoleur, venait de terminer sa boîte aux lettres personnalisée :
Il fabrique également des miroirs dans ce style :
Nous avons aussi sympathisé avec la gent canine. Celui-ci, Saphir, vient de France (ou plutôt du Labrador !).
Il a accepté sans trop de difficultés le second : le « vira lata »** (bâtard), pauvre truc quasi moribond, tellement faible qu’il ne pouvait ouvrir les yeux, que nos amis ont trouvé dans les environs, soigné et gardé. Maintenant, Onyx ouvre grand ses yeux, qui sont pers, et remplis de tendresse pour ses sauveurs…
**De « virar », renverser, et de « lata de lixio », poubelle. J’adore cette désignation, très imagée !!
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