Partis en expédition pour un vernissage au Musée de Goiânia (j’y reviendrai), nous avons filé à l’anglaise (à la brésilienne ?) car nous avions un projet : aller dîner tous les deux (dans ces occasions on se retrouve souvent devant des pizzas king size avec les copains). Petite marche d’une dizaine de minutes en longeant le parc où, jusqu’à une heure avancée de la soirée, les citadins, en tenue adéquate, marchent, avec l’illusion de perdre leurs kilos superflus, et arrivée au Castro Park Hôtel.
Cet hôtel 5 étoiles fut notre premier logis, au 14ème et dernier étage, il y a déjà 4 ans, à notre arrivée à Goiânia, en attendant notre déménagement et l’installation dans notre maison.
Dès nos premiers pas dans le grand hall, agréable surprise : nous sommes accueillis par « La vie en rose ». De son estrade, Clayton, le pianiste attitré des lieux, nous a reconnus et nous souhaite la bienvenue à sa manière. Nous allons lui serrer la main, « todo bem », de part et d’autre et sachant que nous allions rester dîner, il nous assure un programme spécial : chansons françaises, tangos et boléros…
Donc, nous avons dégusté notre suribim (gros poisson de rivière) grillé en compagnie de « La cumparsita », «Por una cabeza », « Le mer », et « Tu no sabes ». Pendant ce temps, nous avons eu la visite des serveurs et maîtres d’hôtel qui nous connaissaient, et même de la fille du fondateur de l’hôtel qui en est maintenant la directrice. « todo bem », « todo bem »....
Après un dernier signe d’adieu à notre animateur musical, nous grimpons dans un taxi stationné devant l’hôtel. Après le « boa noite » d’usage, la chauffeur démarre. « Je vous emmène à votre maison, rue 120, secteur sud ? » !!!!
Commentaire final : j'ai bien choisi le tître de mon blog!!!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire