A L'ANNEE PROCHAINE...
Chroniques de la vie quotidienne à Goiânia (Centre du Brésil)par une Française.
jeudi 31 décembre 2009
dimanche 27 décembre 2009
S.O.S GAZ !
A Goiânia, nous n'avons pas le gaz de ville. Je suis donc à la merci d'une bouteille, laquelle, c'est d'une logique imparable, est vide en plein milieu de la préparation du repas!
Ce matin, durant la cuisson de ma marmite de sauce tomate, patatras..
Ici, pas de problème, les fournisseurs ne manquent pas.
Coup de téléphone. 15 minutes après, la bouteille était remplacée et la sauce recommençait à chanter.
J'oubliais. Aujourd'hui, nous étions dimanche!!
Ce matin, durant la cuisson de ma marmite de sauce tomate, patatras..
Ici, pas de problème, les fournisseurs ne manquent pas.
Coup de téléphone. 15 minutes après, la bouteille était remplacée et la sauce recommençait à chanter.
J'oubliais. Aujourd'hui, nous étions dimanche!!
samedi 26 décembre 2009
Ciné-lecture
Je viens de relire le livre écrit par Ava Gardner, publié en 1990, quelques mois après son décès.
Parmi le flot d’anecdotes racontées par la Belle – oui, elle mérite bien une majuscule - j’ai beaucoup apprécié ce qu’elle raconte à propos de Clark Gable, dont elle fut plusieurs fois la partenaire.
Quand en 1947, pour les besoins du film "Marchands d’Illusions", (The Huckters) elle se retrouva pour la première fois aux côtés du « King », alors au sommet de sa gloire, elle fut tellement impressionnée que les indications du metteur en scène passaient au-dessus de sa tête. Son partenaire lui dit alors gentiment : « alors, petite, on est où là ? » en ajoutant pour la mettre à l’aise « vous ne vous prenez pas pour une actrice. Moi non plus. On est donc à égalité »…
Dans une séquence du film, Ava, devait interpréter une chanson dans un cabaret. La scène fut tournée en fin de journée. Tous les acteurs - y compris Gable qui avait pour habitude de s’éclipser vers 17 H. – et les figurants avaient déserté les lieux. Rien de moins motivant que de chanter sensuellement dans un décor vide !! Alors qu’elle s’apprêtait, sans enthousiasme, à s’exécuter, elle vit arriver Clark Gable traînant une chaise, s’y asseoir à califourchon les bras croisés sur le dossier en lui faisant un large sourire …
Ce jour là, elle estima que ce surnom "The King" Gable le devait moins à se popularité qu’à la parfaite correction et à la gentillesse dont il a toujours fait preuve envers tous ceux qu’il était appelé à fréquenter dans la jungle hollywoodienne.
Parmi le flot d’anecdotes racontées par la Belle – oui, elle mérite bien une majuscule - j’ai beaucoup apprécié ce qu’elle raconte à propos de Clark Gable, dont elle fut plusieurs fois la partenaire.
Quand en 1947, pour les besoins du film "Marchands d’Illusions", (The Huckters) elle se retrouva pour la première fois aux côtés du « King », alors au sommet de sa gloire, elle fut tellement impressionnée que les indications du metteur en scène passaient au-dessus de sa tête. Son partenaire lui dit alors gentiment : « alors, petite, on est où là ? » en ajoutant pour la mettre à l’aise « vous ne vous prenez pas pour une actrice. Moi non plus. On est donc à égalité »…
Dans une séquence du film, Ava, devait interpréter une chanson dans un cabaret. La scène fut tournée en fin de journée. Tous les acteurs - y compris Gable qui avait pour habitude de s’éclipser vers 17 H. – et les figurants avaient déserté les lieux. Rien de moins motivant que de chanter sensuellement dans un décor vide !! Alors qu’elle s’apprêtait, sans enthousiasme, à s’exécuter, elle vit arriver Clark Gable traînant une chaise, s’y asseoir à califourchon les bras croisés sur le dossier en lui faisant un large sourire …
Ce jour là, elle estima que ce surnom "The King" Gable le devait moins à se popularité qu’à la parfaite correction et à la gentillesse dont il a toujours fait preuve envers tous ceux qu’il était appelé à fréquenter dans la jungle hollywoodienne.
jeudi 24 décembre 2009
Britânia (2)
mardi 22 décembre 2009
oiseau karaja
dimanche 20 décembre 2009
Britânia
Un musée d’art a été inauguré la semaine dernière dans la ville de Britânia, sous le slogan :
« la plus petite ville du Brésil à posséder un Musée d’Art. ».
A l’aune du Brésil, Britânia n’est pas petite mais minuscule, avec un peu plus de 5.000 habitants !! L’initiative a été lancée par nos amis Fogaça et son épouse Malu qui possèdent une petite maison de vacances dans la commune. Malu, particulièrement active et efficace, a réussi en peu de temps à sensibiliser les artistes de Goiânia (dont l’époux) et quelques trois cents œuvres ont été réunies. Et les autorités de Britânia ont suivi. Mise à disposition d’un espace, inauguration du Musée en présence de centaines de visiteurs et de beaucoup des artistes représentés, (un bus avait été prévu pour les transporter de Goiânia sur les lieux), édition en 500 exemplaires d’un joli petit livre de 88 pages, etc…
Britânia, fondée en 1958 par des gens de Sâo Paulo qui avaient acheté au Gouvernement des terres au bord du « Lago dos Tigres » et qu’ils ont revendues en parcelles, est située à 300 km au nord -ouest de Goiânia et à 40 km de la frontière avec le Mato Grosso. La municipalité mise beaucoup sur les sports nautiques pratiqués sur son lac de 35 km de long (la largeur n'est pas précisée..) qu’elle qualifie avec enthousiasme de « plus grand d’Amérique Latine » (1) et sur la nature environnante où feulent les jaguars (d’accord, ces sont de jolis gros minets mais ce n’est guère rassurant de partir en balade !) et rongent les capivaras (2).
Bon, on a toujours la ressource de se réfugier dans le Musée…
(1) C’est oublier un peu vite le Lac Titicaca (200 km de long sur 65 de large) et le grand lac glaciaire argentin de Nahuel Huapi (646 km2).
(2) Le capivara (du Guarani « seigneur des herbes ») est le plus gros rongeur du monde. Il peut atteindre 135 cm de long et peser jusqu’à 65 kg..
« la plus petite ville du Brésil à posséder un Musée d’Art. ».
A l’aune du Brésil, Britânia n’est pas petite mais minuscule, avec un peu plus de 5.000 habitants !! L’initiative a été lancée par nos amis Fogaça et son épouse Malu qui possèdent une petite maison de vacances dans la commune. Malu, particulièrement active et efficace, a réussi en peu de temps à sensibiliser les artistes de Goiânia (dont l’époux) et quelques trois cents œuvres ont été réunies. Et les autorités de Britânia ont suivi. Mise à disposition d’un espace, inauguration du Musée en présence de centaines de visiteurs et de beaucoup des artistes représentés, (un bus avait été prévu pour les transporter de Goiânia sur les lieux), édition en 500 exemplaires d’un joli petit livre de 88 pages, etc…
Britânia, fondée en 1958 par des gens de Sâo Paulo qui avaient acheté au Gouvernement des terres au bord du « Lago dos Tigres » et qu’ils ont revendues en parcelles, est située à 300 km au nord -ouest de Goiânia et à 40 km de la frontière avec le Mato Grosso. La municipalité mise beaucoup sur les sports nautiques pratiqués sur son lac de 35 km de long (la largeur n'est pas précisée..) qu’elle qualifie avec enthousiasme de « plus grand d’Amérique Latine » (1) et sur la nature environnante où feulent les jaguars (d’accord, ces sont de jolis gros minets mais ce n’est guère rassurant de partir en balade !) et rongent les capivaras (2).
Bon, on a toujours la ressource de se réfugier dans le Musée…
(1) C’est oublier un peu vite le Lac Titicaca (200 km de long sur 65 de large) et le grand lac glaciaire argentin de Nahuel Huapi (646 km2).
(2) Le capivara (du Guarani « seigneur des herbes ») est le plus gros rongeur du monde. Il peut atteindre 135 cm de long et peser jusqu’à 65 kg..
samedi 19 décembre 2009
Télé-chat!
jeudi 17 décembre 2009
Arbre du voyageur
Dans une prtie de la grande Praça Civica, au centre de la ville, trône ce majestueux éventail.
Le nom savant de cette plante tropicale - pouvant atteindre jusqu’à 30 m de hauteur - est ravanela madagascariensis, communément appelée « arbre du voyageur ». Ses longues feuilles ont la particularité de retenir de l’eau à leurs base, permettant, dit-on, au voyageur de se désaltérer
Comme son nom l’indique, on la rencontre principalement à Madagascar, mais aussi dans les îles voisines de la Réunion et de l’Ile Maurice. Pourtant, l’arbre du voyageur a… voyagé, puisque il y en avait en Afrique de l’Ouest, à Bissau, dont deux très beaux exemplaires prospéraient dans le jardin de la banque, à une centaine de mètres de chez nous, et qu’il est arrivé à Goiânia…
Le nom savant de cette plante tropicale - pouvant atteindre jusqu’à 30 m de hauteur - est ravanela madagascariensis, communément appelée « arbre du voyageur ». Ses longues feuilles ont la particularité de retenir de l’eau à leurs base, permettant, dit-on, au voyageur de se désaltérer
Comme son nom l’indique, on la rencontre principalement à Madagascar, mais aussi dans les îles voisines de la Réunion et de l’Ile Maurice. Pourtant, l’arbre du voyageur a… voyagé, puisque il y en avait en Afrique de l’Ouest, à Bissau, dont deux très beaux exemplaires prospéraient dans le jardin de la banque, à une centaine de mètres de chez nous, et qu’il est arrivé à Goiânia…
mardi 15 décembre 2009
Cohabitation
En ouvrant mon ordinateur il y a quelques jours, je me suis trouvée nez à nez avec ces trois copains!
Shere Khan le tigreau, Baloo l'ourson et Léo le lionceau ont été récupérés par la police lors de l'arrestation de trafiquants.
Agés tous trois d'environ 2 mois, ils ont été élevés ensemble.
Les co-locataires de la jolie case mise à leur disposition paraissent trouver que la vie est belle!!
Shere Khan le tigreau, Baloo l'ourson et Léo le lionceau ont été récupérés par la police lors de l'arrestation de trafiquants.
Agés tous trois d'environ 2 mois, ils ont été élevés ensemble.
Les co-locataires de la jolie case mise à leur disposition paraissent trouver que la vie est belle!!
dimanche 13 décembre 2009
Diplôme, médaille et bise!
Le siège de Goiânia de l’UNION NATIONALE BRESILIENNE DES ECRIVAINS décerne chaque année des récompenses aux personnes et institutions de l’Etat de Goias ayant contribué au développement de la culture.
L’auditorium de l’Institut Historique et Géographique, où avait lieu hier soir cette cérémonie annuelle, a fait le plein ! Parmi les vingt élus pour 2009, cinéastes, journalistes, écrivains, musiciens, figurait également un étranger, Yvan Avena, en qualité de « personnalité s’étant démarquée dans la catégorie arts plastiques »…
Voilà donc l’époux appelé à l’impressionnante table des édiles et des sommités culturelles chargés de remettre les récompenses. Moi, appareil photo braqué, je m’apprêtais à immortaliser l’événement. Mais voilà que ce traître (et gentil) mari glisse deux mots au présentateur… lequel annonce à l’auditoire : M. Avena souhaiterait que ce soit sa femme qui lui remette diplôme et médaille. Je large en catastrophe mon appareil photo à une amie, et nous voilà donc tous deux sur l’estrade !! Je lui remets son diplôme, lui flanque autour du cou sa jolie médaille, bise, applaudissements et ouf, terminé !
D’après Yvan, nous sommes tous deux une équipe, nous nous partageons les tâches et il n’était que justice que je participe à ce petit hommage. Donc, NOUS avons un diplôme, NOUS avons une médaille, et NOUS remercions les autorités culturelles de notre ville d’adoption de cette aimable attention.
L’auditorium de l’Institut Historique et Géographique, où avait lieu hier soir cette cérémonie annuelle, a fait le plein ! Parmi les vingt élus pour 2009, cinéastes, journalistes, écrivains, musiciens, figurait également un étranger, Yvan Avena, en qualité de « personnalité s’étant démarquée dans la catégorie arts plastiques »…
Voilà donc l’époux appelé à l’impressionnante table des édiles et des sommités culturelles chargés de remettre les récompenses. Moi, appareil photo braqué, je m’apprêtais à immortaliser l’événement. Mais voilà que ce traître (et gentil) mari glisse deux mots au présentateur… lequel annonce à l’auditoire : M. Avena souhaiterait que ce soit sa femme qui lui remette diplôme et médaille. Je large en catastrophe mon appareil photo à une amie, et nous voilà donc tous deux sur l’estrade !! Je lui remets son diplôme, lui flanque autour du cou sa jolie médaille, bise, applaudissements et ouf, terminé !
D’après Yvan, nous sommes tous deux une équipe, nous nous partageons les tâches et il n’était que justice que je participe à ce petit hommage. Donc, NOUS avons un diplôme, NOUS avons une médaille, et NOUS remercions les autorités culturelles de notre ville d’adoption de cette aimable attention.
samedi 12 décembre 2009
Mini-sapin
Je ne l'ignore pas. Je vais à nouveau m'exposer aux quolibets d'une jeune amie qui, il y a déjà quelques années, s'était moquée de mon "petit" arbre de Noël!! Mais j'y tiens, à mon petit arbre, il a déjà une histoire.
Fabriqué je ne sais où, importé des Pays-Bas par un commerçant hollandais de Bissau qui me l'a vendu en 1987, il a assisté depuis à toutes les fins d'années, de Bissau à Goiânia, en passant par Guatemala Ciudad et Lectoure. Il a beaucoup plus voyagé qu'un grand et véritable sapin de Noël, et si ses aiguilles en plastique ont quelque peu contribué (mais si peu, il est si petit!) à la pollution de notre planète, du moins ne peut-on m'accuser de participer à la déforestation..
Fabriqué je ne sais où, importé des Pays-Bas par un commerçant hollandais de Bissau qui me l'a vendu en 1987, il a assisté depuis à toutes les fins d'années, de Bissau à Goiânia, en passant par Guatemala Ciudad et Lectoure. Il a beaucoup plus voyagé qu'un grand et véritable sapin de Noël, et si ses aiguilles en plastique ont quelque peu contribué (mais si peu, il est si petit!) à la pollution de notre planète, du moins ne peut-on m'accuser de participer à la déforestation..
jeudi 10 décembre 2009
Durant l’attente (dans la salle du même nom !) chez le dentiste (1) je n’ai à me mettre sous la dent, enfin sous les yeux, qu’une revue
« pipole » tout à fait affligeante, à l’exception d’une page consacrée à des citations. Hier, j’en ai relevé quelques unes.
Tous les antipathiques sont sincères !
Luis Felipe Angell (1926-2004), humoriste pérouvien.
Les hommes vieillissent, mais ne s’améliorent pas pour autant. Oscar Wilde (1854-1900)
La banque est une institution qui prête à des personnes pouvant apporter les preuves suffisantes qu’elles n'ont pas besoin d’argent.
Aparicio Turelly (1895-1971, journaliste brésilien
Le luxe est tout ce qui ne se voit pas
Coco Chanel (1883-1971)
(1) je suis bien la seule patiente à arriver, non seulement à l'heure mais AVANT l'heure!
« pipole » tout à fait affligeante, à l’exception d’une page consacrée à des citations. Hier, j’en ai relevé quelques unes.
Tous les antipathiques sont sincères !
Luis Felipe Angell (1926-2004), humoriste pérouvien.
Les hommes vieillissent, mais ne s’améliorent pas pour autant. Oscar Wilde (1854-1900)
La banque est une institution qui prête à des personnes pouvant apporter les preuves suffisantes qu’elles n'ont pas besoin d’argent.
Aparicio Turelly (1895-1971, journaliste brésilien
Le luxe est tout ce qui ne se voit pas
Coco Chanel (1883-1971)
(1) je suis bien la seule patiente à arriver, non seulement à l'heure mais AVANT l'heure!
lundi 7 décembre 2009
Anniversaire
Un petit cadeau, du genre à entretenir les liens du mariage .. et à me consoler d'avoir un an de plus!!
Que puis-je ajouter à part cette année supplémentaire ?
Ah oui ! Il pleut, il pleut… depuis samedi soir, c’est à dire depuis près de 40 heures, avec néanmoins une petite pause dominicale d’environ 2 heures : juste le temps d’aller déjeuner avec notre ami Ruy. A peine le seuil de notre maison franchi, le déluge recommençait…Encore un petit cadeau, mais des cieux cette fois !
Que puis-je ajouter à part cette année supplémentaire ?
Ah oui ! Il pleut, il pleut… depuis samedi soir, c’est à dire depuis près de 40 heures, avec néanmoins une petite pause dominicale d’environ 2 heures : juste le temps d’aller déjeuner avec notre ami Ruy. A peine le seuil de notre maison franchi, le déluge recommençait…Encore un petit cadeau, mais des cieux cette fois !
samedi 5 décembre 2009
Calopsitas
A chaque fois que je sors faire des emplettes dans le quartier, je m’arrête devant une animalerie, spécialisée dans la vente de poissons et d’oiseaux. Dans une belle cage argentée (mais ça reste néanmoins une prison !), deux superbes perruches n’attendent que le visiteur pour se distraire. Dès que je m’approche et commence à leur parler, elles délaissent leurs perchoirs, leurs mangeoires pour venir s’accrocher, par le bec, aux barreaux extérieurs afin de se rapprocher de moi. Au bout d’un moment, celle que je suppose être le mâle, regagne sa balançoire et commence à faire des exercices de voltige. Bref, comme m’avait dit un jour une amie finlandaise, il me montre tout ce qu’il sait faire !(1)
Ces perruches, originaires d’Australie, sont appelées ici calopsita, et en France calopsittes élégantes. Sans doute à cause de leur jolie huppe et de leur touche de maquillage !
(1) A propos de Charlie, encore chaton, qui nous avait fait une séance de cabrioles dans le salon…
Ces perruches, originaires d’Australie, sont appelées ici calopsita, et en France calopsittes élégantes. Sans doute à cause de leur jolie huppe et de leur touche de maquillage !
(1) A propos de Charlie, encore chaton, qui nous avait fait une séance de cabrioles dans le salon…
mercredi 2 décembre 2009
« Je regarde le journal télévisé pour voir ce qui reste aujourd’hui de ce qui a survécu hier »
Eno Teodoro Wanke (1929/2001), ingénieur et poète brésilien
Pour nous, en ce moment, il ne reste plus rien du journal télévisé : notre télévision est en panne. Elle est partie chez le docteur-réparateur. Quand reviendra-t-elle ? Le mystère reste entier. Aux dernières nouvelles, la pièce malade, le tube cathodique (ça existe encore ce machin là ?), n’est pas encore arrivée de Sâo Paulo…
Nous passons donc nos soirées au premier étage, dans mon bureau, siège du ciné-DVD. Au grand désarroi de Charlie-chat qui, victime de ses habitudes, s’installe obstinément dans le salon-télévision du rez-de-chaussée, attendant, en vain, notre arrivée !
Eno Teodoro Wanke (1929/2001), ingénieur et poète brésilien
Pour nous, en ce moment, il ne reste plus rien du journal télévisé : notre télévision est en panne. Elle est partie chez le docteur-réparateur. Quand reviendra-t-elle ? Le mystère reste entier. Aux dernières nouvelles, la pièce malade, le tube cathodique (ça existe encore ce machin là ?), n’est pas encore arrivée de Sâo Paulo…
Nous passons donc nos soirées au premier étage, dans mon bureau, siège du ciné-DVD. Au grand désarroi de Charlie-chat qui, victime de ses habitudes, s’installe obstinément dans le salon-télévision du rez-de-chaussée, attendant, en vain, notre arrivée !
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