Auparavant, je pouvais admirer en passant, à travers les grilles, les jardinières et plantations de ma voisine Amaryllis. Mais il y a quelques mois, elle s’est cloîtrée, en faisant élever tout le long de la façade ce que j’appelle le mur de Tijuana !
Fort heureusement, elle tient tant à son bel arbre - dont elle ignore totalement le nom et, de ce fait, moi aussi ! - qu’elle l’a fait étayer par notre jardinier commun.
Les branches très lègères se balancent doucement au moindre souffle d’air. Il me fait penser à nos romantiques saules pleureurs...
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