vendredi 3 juillet 2009

Par l’intermédiaire de mon poète de mari, notre amie Alessandra Teles, peintre de talent, a pris pied dans l’univers poétique de nos voisins belges (enfin, les vôtres, les lecteurs français car, géographiquement, ce ne sont plus les miens !).

Après une incursion dans le périodique littéraire, culturel et artistique de « La Cigogne », (Bruxelles), Alessandra a les honneurs de la couverture de la revue « Plumes et Pinceaux » (Saint Ghislain).


L’œuvre actuelle de l’artiste est basée sur les Karaja, peuple amérindien de l’Etat de Goiás, dont les rituels, les croyances et les techniques de subsistance sont étroitement liés aux caprices du majestueux fleuve Araguaia (1)

Le « Peuple de l’Eau », une des appellations qui lui a été donnée, doit être loin de se douter que ses symboles, à travers les toiles d’Alessandra, sont entrée en Wallonie, dans l’état du Hainaut…

(1) L’Araguaia (2.630 km, débit moyen 6.172 m3 seconde. Un comparaison : le Rhône : 1.700 m3) naît dans le Mato Grosso, traverse le centre du Brésil vers le nord et va grossir le rio Tocantins, ce dernier se jetant dans l’Atlantique non loin de l’embouchure de l’Amazone. Que d’eau, que d’eau

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