mardi 28 juillet 2009

Casablanca



En farfouillant avec patience dans les gondoles des différents magasins de la ville, où s’entassent en vrac les DVD qui ne sont plus de la dernière actualité, je parviens parfois à dénicher des petits trésors destinés à remplacer peu à peu mes vieilles cassettes vidéo.


C’est ainsi qu’hier j’ai inscrit « Casablanca » au programme de la soirée. Etonnante histoire que celle de ce film, tourné au jour le jour dans l’improvisation la plus totale, sans scénario défini et auquel personne ne croyait, encore moins le réalisateur Michael Curtiz et les deux principaux protagonistes (Bergman et Bogart), irrités par cette pagaille.

Et pourtant, la magie du film opère toujours, après six décennies. Nous seuls avons pris des rides ! Le lumineux visage d’Ingrid Bergman, le cynisme (feint !) de « Bogie » dans son smoking blanc, sans oublier la fameuse phrase Play it, Sam. Play « As Time Goes By » continuent à nous faire craquer..

Aucun commentaire: