dimanche 11 juillet 2010

Rosinha (2)

Que l’on se rassure. Zé Orocó réussira à échapper à l’enfer de l’asile. Il en sort, complètement guéri, d’après la Faculté.

Qu’est devenue sa chère Rosinha durant sa longue absence ?

Ne comptez pas que je vous raconte la dernière partie de l’aventure de Zé Orocó. Sachez seulement qu’elle nous réserve une jolie surprise !

L’ouvrage m’avait été recommandé, il y a près de 25 ans, par un défunt ami bissau-guinéen ayant vécu de longues années au Brésil. Je me l’étais donc procuré, lors d’un voyage à Dakar, sans doute à la Librairie Française… et je ne l’avais jamais lu.

La particularité du livre est que l’action est située dans l’Etat de Goiás, en territoire karaja, ce peuple amérindien appelé aussi « le peuple de l’eau », dont notre amie Alessandra Teles reproduit si bien les signes et les symboles. D’ailleurs, « la grande ville » où le malheureux Zé Orocó se retrouve à l’asile est sans doute Goiânia..


Je me dois de signaler la fâcheuse négligence des Editions Stock. La couverture ne correspond pas à l’ouvrage, et les critiques reprises au verso (Le Monde, La Vie Catholique et Elle) concernent un autre livre, du même auteur (quand même !) intitulé « Mon bel oranger » (O meu pé de laranja lima).

Par respect pour l'auteur de cet hymne à la nature, voici la couverture de l'original paru au Brésil...

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