Comme Marijo et Jacky qui m’ont fait cette belle surprise
Un récit autobiographique, que les proches de Françoise Giroud croyaient détruit, vient d’être miraculeusement retrouvé. Il a été rédigé à la période où tout allait mal dans la vie de la journaliste ; elle venait de rater son suicide après avoir perdu ses deux passions : Jean-Jacques Servan-Schreiber, parti assurer sa descendance avec une autre, et l’Express dont elle avait été écartée. Elle « passait mal » comme dit une amie portugaise mais dans ce journal, écrit pendant sa convalescence, on retrouve néanmoins son style inimitable et l’humour qui lui était très particulier.
Un beau
message de l’au-delà....
Les rescapés
de ce groupe mythique sont passés à la
télévision en mars dernier et j’avais eu
l’imprudence (la bonne idée, plutôt !) de faire part à mes amis combien
j’avais été émue de réentendre, après tant d’années, « Nights in white
satin ».
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