Les témoins de la Première Guerre Mondiale ont maintenant
tous disparu. Restent les souvenirs recueillis dans les familles.
L’occasion m’est donnée de ma rappeler ce que m’avait raconté Yvan sur son grand-père
maternel. Les rencontres entre l’aïeul et son petit fils ne furent pas
nombreuses, l’un vivant en France l’autre en Argentine.
Néanmoins, quand Yvan revint d’Argentine en 1954, il alla
passer plusieurs jours à Riscle où
habitaient ses grands parents.
Né dans le Gers en 1885, Leopold PORTES
fut naturellement, appelé en
1914. Après quatre dures années il
rentra dans son foyer épuisé et affaibli mais vécut assez âgé. Ce qui lui
permit d’assurer à Yvan « que le vin blanc des Côtes de Gascogne lui
avait sauvé la vie » ! Et
d’ajouter, en se référant à la
guerre, avec son accent gascon
rocailleux « que tout ça, c’était la faute de tous ces consss de
générrraux »...
(1)
Je ne vois pas pour quelle raison a été choisi
ce lieu pour enterrer le soldat inconnu. Quel
«triomphe » ces millions de morts ?
3 commentaires:
Mon grand père maternel lui aussi a fait la guerre de 14/18. Bises
Le vin blanc, j'aime aussi. Je vais donc vivre assez âgé. Hahaha
Le vin blanc, j'aime aussi. Je vais donc vivre assez âgé. Hahaha
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